vendredi 18 décembre 2020

La vérité sur noël


 Quel rapport y a-t'il entre la naissance du Sauveur et noël ?
Le roi Hérode a fait massacrer tout les bébés de Bethléem âgés de moins de 2 ans.
Le plus important, ce n'est pas de connaitre sa date de naissance, mais plutôt de le recevoir comme notre Sauveur personnel !

jeudi 22 octobre 2020

224 300 interruptions volontaires de grossesse

DREES, septembre 2019

  En 2018, 224 300 interruptions volontaires de grossesse (IVG) ont été réalisées en France, dont 209 500 auprès de femmes résidant en métropole. Le taux de recours s’élève à 15,0 IVG pour 1 000 femmes âgées de 15 à 49 ans en métropole et à 27,8 dans les départements et régions d’outre-mer (DROM), son niveau le plus élevé depuis 1990. Les femmes de 20 à 29 ans restent les plus concernées, avec un taux de 27 IVG pour 1 000 femmes sur l’ensemble du territoire. L’indice conjoncturel d’avortement atteint 0,56 IVG par femme en 2018.




mardi 15 septembre 2020

Le Docteur Bernard Nathanson

 Le Docteur Bernard Nathanson a commencé par être l'un des principaux partisans de l'avortement. Puis il fut le co-fondateur de l'Association Nationale pour la Suppression des Lois sur L'Avortement. Il a reconnu qu'avec d'autres partisans de l'avortement, il avait délibérément menti à propos de certains faits concernant l'avortement. 😓

Il a changé complètement sa position et défend à présent le droit à la vie, désirant rectifier une situation qu'il avait contribué à créer. 😀

Voici ce qu'il a déclaré, après avoir changé de position : 

"Les études immunologiques ont démontré avec une certitude absolue que lorsqu'un embryon se fixe sur la paroi de l'utérus, huit jours après la conception, les mécanismes de défense de la mère, en particulier les globules blancs, sentent que cette créature qui s'installe est un intrus qui doit être expulsé. Il se produit alors une attaque immunologique massive contre l'embryon… Mais, grâce à un système de défense ingénieux et extraordinairement efficace, l'embryon parvient à repousser cette attaque… Ainsi, même à l'état de boule microscopique, ce petit "corps" sait reconnaître le "soi" du "non-soi"." 😏

(Bernard Nathanson, The Abortion Papers : Inside the Abortion Mentality (Dossier sur l'avortement : Comprendre la mentalité de l'avortement), page 150, 1983).



mercredi 12 août 2020

PMA !

Beaucoup de travail en perspective pour les juges et les psys

Bien entendu, tout projet, et a fortiori toute nouveauté, entraîne toujours son lot de problèmes, et ce n’est pas pour cela qu’il faut ne rien faire. 

La particularité de cette nouveauté-là est que les problèmes ne retomberont pas seulement sur les personnes qui auront décidé de s’engager, en toute connaissance de cause, mais aussi sur les enfants, qui seront déchirés entre les adultes qui se disputeront et qui, tous, auront de bons arguments à faire valoir. 

Entre les enfants qui demanderont laquelle des deux mamans a apporté son ovule, où est le monsieur qui a donné son spermatozoïde, pourquoi l’une de leurs mamans a accouché d’eux, les ont allaités, leur ressemble beaucoup et l’autre pas du tout mais qui pourtant sont toutes deux leur mère, les hommes pris de remords qui voudront connaître leur enfant mais qui ne figureront nulle part dans les papiers, les mères qui devront payer des pensions alimentaires et donner une part d’héritage à des enfants qu’elles n’auront jamais portés, et les enfants qui seront frères et sœurs à part entière avec les deux mêmes mères, mais qui n’auront aucun trait commun, il risque d’y avoir bien des incompréhensions, des angoisses, des sentiments d’injustice. 

Il est vrai que la situation actuelle est déjà terriblement compliquée et qu’un nombre important d’enfants vivent des drames familiaux. 

Jean-Marc Dupuis


jeudi 2 juillet 2020

Encore la porno !

« La déferlante pornographique constitue l’un des dangers principaux du XXIe siècle »

François Billot de Lochner, le président de l’association Stop au porno.

Pourquoi attirer ainsi l’attention du public sur ce phénomène ?

Tout simplement parce que la déferlante pornographique constitue, dans une grande indifférence générale apparente, l’un des dangers principaux que le XXIe siècle aura à affronter.


D’un côté, il ne fait plus aucun doute que la pornographie est un drame pour chaque personne et pour la société tout entière. En effet, il est désormais prouvé scientifiquement que la consommation de matériaux pornographiques abîme le cerveau (la dopamine, essentielle pour notre activité primaire, est gravement endommagée par une consommation pornographique outrancière), transforme peu à peu la personne en objet de consommation dont on peut faire n’importe quoi, détruit l’unicité qui fait la beauté de chaque être humain en réduisant celui-ci à un simple objet de jouissance, abîme le si nécessaire lien social entre les personnes, enferme peu à peu le consommateur de matériaux pornographiques dans la simple consommation de plaisirs fugitifs, etc.

Ce que je décris là correspond à de très nombreuses études réalisées par des spécialistes en neurosciences, par des psychologues, par des sociologues, par des médecins ou par des formateurs compétents. Les très nombreux témoignages que je reçois révèlent l’ampleur du problème, qui touche toutes les générations, et notamment les enfants, désormais au cœur de la déferlante pornographique.


Cela étant dit, la société tout entière se couche devant un phénomène qu’elle pense immaîtrisable et qui la met profondément mal à l’aise. L’idéologie libertaire est implantée dans nos sociétés à un point tel que toute atteinte présumée à la « liberté » est considérée comme intolérable. Réguler ou interdire la pornographie serait donc insupportable pour nos libertés. Tant pis si la société tout entière, et chaque personne en particulier, se met en grand danger par rapport à ce phénomène.

Si le sujet n’était pas d’une extrême gravité, tant de bêtise de la part de nos dirigeants politiques devrait générer, chez chacun d’entre nous, d’irrépressibles et incontrôlables fous rires. En réalité, depuis des dizaines d’années, la classe politico-médiatique, l’Éducation nationale et le système judiciaire se tiennent les coudes pour promouvoir autant que possible la dérive pornographique de la société tout entière.

Nous faisons beaucoup de publications sur le sujet de la pornographie depuis plusieurs années, afin que nos lecteurs comprennent que la pornographie est un projet ancien des élites, visant à détruire une société fondée sur des valeurs chrétiennes détestées, et afin de leur donner des clés précises de lutte contre ce fléau.



vendredi 29 mai 2020

Arthur Rubinstein

Voici ce qu'a dit le grand pianiste Arthur Rubinstein : "Ma mère ne voulait pas d'un 17e enfant. Elle avait donc décidé de se débarrasser de moi. Mais il s'est alors passé quelque chose de merveilleux. Ma tante l'a dissuadée d'avorter, ce qui m'a permis de naître. Pensez-y ! Je suis un miracle vivant !

" Combien de centaines et de milliers d'enfants dont on n'entend plus parler auraient pu apporter au monde leur talent et leur contribution ! Rien qu'en Amérique, parmi les 40 millions d'enfants que nous avons mis à mort, combien auraient pu devenir des dirigeants de valeur ou apporter leur contribution à la société et à la gloire de Dieu ! Nous sommes en train d'avorter notre propre peuple ! 

C'est la même chose que de perdre des soldats dans une guerre sur un sol lointain. La seule différence est l'endroit de la mort. Dans le cas d'un avortement, cela se passe sur le sol américain, et la bataille se déroule dans le ventre de la mère. Si celle-ci peut accepter l'idée de mettre à mort l'enfant qu'elle porte, c'est l'ennemi de la vie qui a gagné. Peu importe si l'on choisit une balle, du gaz, ou tout autre moyen pour mettre fin à une vie. Ce qui compte, c'est la fin que l'on recherche. 

La mort reste la mort, qu'elle survienne à 6 jours, à 6 semaines, à 5 mois, à un an ou à 80 ans. Le sondage Gallup du 28 février 1991 a montré que 82 % des Américains ignoraient qu'une nouvelle loi avait légalisé l'avortement pendant toute la durée des neuf mois de la grossesse.

vendredi 17 avril 2020

États-Unis et avortement


 Vers un revirement de la Cour suprême ?

Aux États-Unis, les pro-life ont le vent en poupe. Grande première, le président Donald Trump assistait à la dernière March for Life et y a tenu un discours. Le clivage pro-life vs. pro-choice recouvre à peu près celui entre républicains et démocrates. Pour certains parmi ces derniers, avorter jusqu’à terme n’est pas un problème. Et même achever un enfant né vivant après un avortement raté.
Outre-Atlantique, le nombre d’avortements chute, tant en valeur absolue que rapporté au nombre de naissances. 

Dans la décennie 80, il était de 1,2-1,4 million d’avortements légaux par an, avec un taux entre 345 et 359 avortements pour 1.000 naissances. En 2011, le nombre d’avortements annuels passait en dessous des 700.000 et poursuit sa diminution de façon continue depuis, atteignant 186 avortements pour 1.000 naissances (sources : Center for Disease Control and Prevention).

Ici, en France, nous restons au-dessus de 200.000 avortements par an, sans aucun infléchissement perceptible. Si un élu/homme politique pourtant posé envisage publiquement la seule mise en œuvre de politiques publiques en vue de la réduction du nombre de ces occurrences, il devient la cible des hystériques et des menaces et restrictions sont brandies par la police de la pensée pour qu’il ne s’exprime point publiquement : le lynchage médiatique moderne.

 Ici, en France, on légifère pour criminaliser toute opinion dissidente. Ici, en France, il suffit d’être pro-vie pour se voir interdire l’espace public. Mais il y a encore beaucoup de travail, ne serait-ce que pour restaurer la liberté d’opinion des pro-vie et un débat sans hystérie.



vendredi 13 mars 2020

CET AVORTEMENT QUE L’ON M’A IMPOSÉ



 Tel était le titre de l’émission « Ça commence aujourd’hui », diffusée sur France 2, le 23 janvier 2020. Animatrice : Faustine Bollaert. Conseillère : Christèle Albaret. Témoins : Adam, Katia et Carole.

On peut savoir, gré à l’antenne du service public, d’avoir donné la parole « sans tabou », à trois victimes des usages actuels. Promesse tenue, même si l’animatrice coupe parfois un peu trop vite la parole, pour reformuler ou précéder la pensée des témoins, et de ce fait, l’orienter un peu (excusant même, par hypothèse, la partie adverse — hochement de tête de la thérapeute). On assiste aussi à l’exercice imposé de la Psycho patricienne, invitant nécessairement à la déculpabilisation (allant jusqu’à chercher dans l’enfance d’Adam un insoupçonné traumatisme, expliquant sa sensibilité à l’injustice) et prenant soin finalement de relativiser ces expériences personnelles traumatisantes, par rapport à l’ensemble des situations supposées bien vécues – un certain nombre le seront moins, après cette émission. 

Car les témoignages sont bien là, et très éclairants en soi. Ils sont propres à avertir les jeunes consciences des manipulations dont elles peuvent être victimes (Mme Albaret le confirme lors d’un échange) et de la dureté du cœur humain, lorsque ses intérêts immédiats sont en jeu. Adam a parlé le premier, voulant faire savoir à quel point l’homme peut souffrir de la privation d’un être qu’il désirait profondément. Il met en évidence de façon très convaincante l’injustice d’avoir été dépossédé de la relation de confiance qu’il avait avec son amie. Tout cela par la faute d’un Planning Familial isolant cette dernière pour mieux diriger sa conscience (c’est nous qui traduisons). Adam garde la blessure, est-il attesté lors de l’émission. Il aura du mal à la voir se refermer, à moins de remettre en cause la présentation idyllique, faite par la Psycho praticienne, de cette institution, censée « conseiller de façon neutre, sans notion de jugement », aussitôt démentie par ce que cet homme expose de son histoire. 

Toutefois, par son témoignage, il conteste la loi qui donne à la femme la propriété exclusive de l’enfant porté. Il a eu cette affirmation : « Un homme, il avorte aussi, lorsque sa conjointe avorte ». On aimerait pouvoir dire à Adam que Dieu est d’accord avec lui, sur l’injustice qu’il a subie, lui qui a formé l’homme et la femme pour être en vis-à-vis l’un de l’autre, non pas pour être soustraits l’un à l’autre... du moins, par et dans le mariage, absent de toutes les situations ici présentées ; faiblesse et injustice fondamentale d’une société qui laisse ses enfants s’engager imprudemment. 

Cela appelle la repentance et il faudrait que quelqu’un en instruise cet homme blessé. Katia a tellement souffert, de la dureté de son compagnon, quant à elle. « C’est clair et net, je n’en veux pas », « C’est soit moi, soit le bébé » ! Elle s’est longuement exprimée, démontrant comment une âme pure, aimante, croyant être aimée, peut être tourmentée par un acte si contraire à son attente. Forcée à l’émotion par cette exposition publique, elle a des mots très forts, comme de s’être sentie abandonnée, trahie par celui qu’elle aimait « Il y avait une telle douleur, tristesse en moi ». Elle s’entend encore penser : « Je l’aime déjà ce bébé et je dois faire un choix... ! ». 

Puis, après l’écho de datation durant lequel elle entend le petit cœur battre : « Je vais tuer quelqu’un, c’est juste horrible ! ». Et, à propos du concubin : « Je l’ai haï ». Après cela, amenée aux portes du mariage, Katia a réalisé l’impasse dans laquelle la division entre elle et son concubin l’avait amenée. Le mariage n’a pas eu lieu. Elle est désormais autrement mariée et maman d’une petite fille, son « deuxième enfant » dit-elle, cela, malgré un début de cancer du col de l’utérus. Elle en espère un troisième « Si Dieu le veut », lâche-t-elle ! Carole parle moins longtemps ; elle exprime moins l’émotion, déjà largement manifestée par Katia. Elle est suivie par un psychologue. Son parcours est plus complexe. Elle aussi s’est trouvée enceinte, par accident de pilule, heureuse, avec l’espérance de fonder une famille avec l’homme qui semblait l’aimer sincèrement. Mais non ! 

De façon plus subtile au début, puis catégorique, l’amant établit l’impossibilité de garder cet enfant : « C’est l’enfant ou c’est moi ». Elle raisonne, est confuse, se sent perdue. Conseillée de garder l’enfant par son médecin traitant, qui la connaît bien, elle se sent pourtant contrainte à abandonner la vie nouvelle qui se présente, pensant ne pas pouvoir assurer le bonheur de l’enfant. Elle choisit d’être avortée en étant endormie, ne voulant aucun souvenir de ce moment (elle sait par des amies, et Katia, qui a subi l’IVG par médicament, vient de le confirmer, combien ce moment est traumatisant). 

Alors, durant une année l’amour semble plus fort entre Carole et son ami, sujet de l’avortement mis sous tabou. Hélas, la relation s’éteint et Carole subit de plein fouet, dans son corps qui grossit, le regret de sa grossesse interrompue. Désormais, à 38 ans, célibataire, elle veut absolument un enfant, ayant déjà tenté une FIV. Sa vie est en danger, étant sous anti coagulant (elle a fait des thromboses et une embolie), elle devra être surveillée en permanence, mais elle le veut tellement. Avant cet évènement, on voudrait souhaiter à Carole de rencontrer l’amour, contre lequel elle semble s’être prémunie. 

Rappel en début d’émission : 220 000 IVG sont pratiquées en France chaque année. Pasteur Jean Pira Lien (direct, temporaire, en France seulement : https://www.france.tv/france-2/ca-commenceaujourd-hui/1148097-cet-avortement-que-lon-m-a-impose.html Sur YouTube : https://www.youtube.com/ watch?v=Fs0NtIxxsUw https://www.youtube.com/watch?v=cHZYMTpoo9c 

Réaction : Merci pour le lien concernant l’émission sur les IVG forcées, c’était super intéressant d’avoir aussi le point de vue d’un homme. Et l’on entend bien dans son témoignage que le Planning Familial a induit la décision de sa jeune compagne. Je me sens tellement heureuse d’avoir accueilli ma belle Év...,même si mon âge et ma situation ne me permettaient pas forcément un accueil idéal. Quel plaisir de la voir aujourd’hui jeune adulte poursuivant ses études de Droit, avec un adorable fiancé dans sa vie. I.B.Z. NDLR : À cette occasion, nous avons relancé notre pétition «  Pas d’avortement sous contrainte », sur change.org.