vendredi 17 décembre 2021

Heureusement que Myriam ne s'est pas faite avorter !


 Quelle est la réalité qui se cache derrière cette fête ?

Que dit l'écriture sainte à ce propos ? Il est possible que d'autres chrétiens aient un avis différent du mien, et je les respecte. je partage simplement ce que j'ai découvert au cours de 45 ans de lecture de la Parole de DIEU...

lundi 29 novembre 2021

« Toujours plus d’IVG »

 « Toujours plus d’IVG » paraît être devenu le mantra des législateurs depuis la loi Veil. 

Alors que l’Allemagne et l’Italie, grâce à des politiques de prévention, n’enregistrent « que » 100 000 avortements par an, la France en compte plus de 230 000 (232 244 avortements en 2019) et laisse les femmes à la merci de pressions sociale, médicale et économique. Le délai de réflexion d’une semaine a été supprimé en 2016, par la loi de « modernisation » du système de santé.

  Pire : depuis 2017, ceux qui voudraient mettre en œuvre une prévention en accompagnant les femmes enceintes encourent les foudres de la loi. Le déni de l’identité propre de l’embryon ou du fœtus (« un amas de cellules » selon la précédente ministre de la Santé, Agnès Buzyn) a beau contredire l’évidence scientifique que la mère et son bébé ont des corps distincts, dotés d’ADN différents, la science est priée de s’éclipser devant le vieux slogan féministe : « Mon corps m’appartient ».


Quelle horreur !!!


mardi 24 août 2021

Le Vatican approuve les vaccins contre le Covid, même dérivés de fœtus avortés !

 Dans une note publiée lundi 21 décembre, la Congrégation pour la doctrine de la foi affirme que la gravité de la pandémie justifie l’utilisation de vaccins produits en utilisant une méthode dont elle réprouve le principe.

·         Loup Besmond de Senneville (à Rome), 

·        Le Vatican a affirmé qu’il est permis d’utiliser le vaccin vu les circonstances, même s’il est produit selon des méthodes immorales.

Le Vatican l’avait déjà affirmé dans un document de 2008, mais il le redit ici plus clairement encore : il est permis d’utiliser un vaccin en cas de très grave nécessité, même s’il est produit selon des méthodes immorales. C’est du moins ce que l’on peut lire dans une note de la Congrégation pour la doctrine de la foi publiée lundi 21 décembre, sur « la moralité de l’utilisation de certains vaccins contre le Covid-19 »

+Il est « moralement acceptable d’utiliser des vaccins contre le Covid-19 pour lesquels des lignées cellulaires provenant de fœtus avortés ont été utilisées dans le processus de recherche et de production », écrivent les auteurs.

Cellules-souches dérivées d’un fœtus avorté

Si le Vatican se prononce sur cette question, c’est que la Congrégation pour la doctrine de la foi a plusieurs fois été interpellée, ces derniers temps, sur la licéité de vaccins développés par des industriels en utilisant des cellules-souches dérivées d’un fœtus avorté aux Pays-Bas dans les années 1970. Depuis, ces cellules-souches, issues de lignées cultivées en laboratoire, sont utilisées par des chercheurs du monde entier. C’est notamment le cas des industriels AstraZeneca et Janssen.

Pour justifier sa position, la Congrégation pour la doctrine de la foi reprend des éléments d’une note de 2008, Dignitas Personae, une « instruction de la Congrégation pour la doctrine de la foi sur certaines questions de bioéthique ».

« Coopération au mal »

« “Il existe des responsabilités différenciées” dans la coopération au mal, écrit ainsi la Congrégation en citant le document de 2008. Par exemple, “dans les entreprises qui utilisent des lignées de cellules d’origine illicite, la responsabilité de ceux qui décident de l’orientation de la production n’est pas la même que la responsabilité de ceux qui n’ont aucun pouvoir de décision. »

→ EXPLICATION. Covid-19, le Vatican aussi a son plan de vaccination

Ainsi, pour le Vatican, cette « coopération au mal » n’est pas non plus la même entre celui qui utilise un vaccin et celui qui a participé directement à l’avortement ayant ensuite servi à développer ce vaccin. S’il s’agit bien, selon la Congrégation, d’une « coopération matérielle passive », le devoir moral de l’éviter à tout prix est atténué par la gravité du mal à combattre. C’est ici le cas de la pandémie.


Commentaire de Pierre :

Cet homme est un imposteur...

Je ne participerais pas au massacre épouvantable des bébés, c'est-à-dire au plus grand génocide de l'histoire.

Que chacun agisse selon sa conscience , et en toute connaissance de cause. 

C'est à DIEU que nous aurons des comptes à rendre...



mercredi 21 juillet 2021

L'avortement en Afrique

 C’est choquant. Certains officiels des Nations Unies utilisent l’aide humanitaire et au développement comme une arme pour contraindre des pays africains comme le mien, le Kenya, à imposer l’avortement et l’idéologie LGBTQ !

Il existe un mot pour cela… EXTORSION !

Voyez-vous, au lieu de se préoccuper de nos besoins fondamentaux, les Nations Unies exigent que toutes les nations se mettent d’accord sur les mesures destructrices suivantes : 

L’accès gratuit à l’avortement pour toutes les femmes et les filles ;

Faire de l’avortement un « droit de l’homme » fondamental ;

Une diffusion de la propagande sur l’orientation sexuelle et l’idéologie de genre ; et

Une éducation sexuelle « complète » (c’est ainsi qu’ils l’appellent), même pour les tout-petits.


Commentaire de Pierre

Tout ceux et celles qui sont impliqués dans le meurtre des bébés avant leur naissance, seront trés sévèrement punis par le Créateur et Juge : Jésus Christ


mercredi 16 juin 2021

Les activistes anti-avortement


 Ceux qui prétendent s'inspirer de la Bible pour faire le mal ne sont pas représentatifs de la vérité de Dieu.

 Nous ne sommes pas sous la loi de l'Ancien Testament. Personne ne devrait se faire justice soi-même. Ceux qui font du mal à ceux qui avortent, ou qui les tuent, sont devenus exactement semblables à ceux qu'ils voulaient éliminer. Ce n'est que du terrorisme. Il n'est pas sanctifié sous prétexte qu'il est pratiqué au nom du Seigneur. On usurpe la place de Dieu.

 Nous devons avoir de l'amour pour les tous hommes, pas pour leurs pratiques. Dieu nous a aimés alors que nous étions des pécheurs. Le péché concerne tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu. Certes, certains péchés entraînent des conséquences et des punitions plus graves que d'autres. Mais nous devons laisser Dieu en décider. Sinon, nous prenons la place du juge, et nous serons jugés nous-mêmes par Dieu.

Il appartient à Dieu seul de donner la vie et de la reprendre. Si nous supprimons la vie quand nous ne sommes pas directement menacés, nous devenons nous-mêmes des meurtriers. S'ils ne se repentent pas, ces meurtriers devront passer l'éternité en compagnie de ceux qu'ils ont voulu supprimer. Christ nous a enseigné de ne pas rendre le mal pour le mal, ni l'injure pour l'injure. Laissons Dieu décider. Jésus a dit qu'il nous sera fait comme nous avons fait. Job lui-même a écrit : "Si j'ai été joyeux du malheur de mon ennemi, si j'ai sauté d'allégresse quand les revers l'ont atteint, moi qui n'ai pas permis à ma langue de pécher, de demander sa mort avec imprécation" (Job 21 :29-30). Job ne s'est pas permis de médire de ceux qui faisaient le mal.

 Ceux qui prétendent représenter Christ et qui usent de violence sont pires que ceux qui travaillent dans des cliniques d'avortement. Car ceux-ci ne savent pas ce qu'ils font, n'étant pas Chrétiens. Si vous êtes Chrétien, vous devez savoir ce que vous faites. Vous ne devez pas agir comme les membres de l'Inquisition, qui forçaient les gens à se convertir.

Ceux qui veulent supprimer les avorteurs font référence en particulier au passage suivant : "Si un homme tue quelqu'un, on ôtera la vie au meurtrier, sur la déposition de témoins. Un seul témoin ne suffira pas pour faire condamner une personne à mort. Vous n'accepterez point de rançon pour la vie d'un meurtrier qui mérite la mort, car il sera puni de mort" (Nombres 35 :30-31).

C'est une parole à double tranchant. Car si on l'utilise pour tuer un médecin avorteur, elle s'applique aussi au meurtrier de l'avorteur ! Nous n'avons pas le droit d'être les exécuteurs de la justice de Dieu ! En outre, la Loi de l'Ancien Testament a été donnée à Israël, qui était une théocratie. Aujourd'hui, en Amérique, nous ne sommes pas une théocratie. Vous ne pouvez pas faire votre propre gouvernement théocratique. Israël avait été choisi par Dieu pour être Son peuple. Si des Chrétiens (comme les Amish) veulent vivre selon les préceptes divins, ils sont libres de le faire. Mais ils ne peuvent pas forcer les autres à faire de même, ni leur appliquer les pénalités de la loi. Nous devons simplement leur dire ce que Dieu dit à ce sujet.



Le Nouveau Testament définit quels doivent être nos rapports avec les autres : "Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait" (Matthieu 5 :44-48). "Parfait" signifie "sans défaut ni erreur", c'est un état de maturité complète.

Dans Romains 13 :9-10, Paul cite Jésus ainsi que l'Ancien Testament : "En effet, les commandements : Tu ne commettras point d'adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point, et ceux qu'il peut encore y avoir, se résument dans cette parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. L'amour ne fait point de mal au prochain : l'amour est donc l'accomplissement de la loi" (Romains 13 :9-10). Ceux qui veulent faire appliquer les lois de Dieu en faisant du mal à autrui brisent eux-mêmes ces lois. Nous devons aimer notre prochain, qu'il soit Chrétien ou non.

La crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse. C'est l'amour de Dieu qui nous pousse à la repentance. "L'amour est patient, il est plein de bonté ; l'amour n'est point envieux ; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité ; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout" (1 Cor. 13 :4-7). Jésus-Christ n'a jamais commandé à Ses disciples de combattre les hommes. Il a même enseigné le contraire. Cela ne veut pas dire que nous ne devions pas prendre position pour présenter la vérité de Dieu. Mais cela signifie que nous ne devons pas employer les moyens du monde pour accomplir la volonté de Dieu de préserver la vie. La violence ne fait que produire la violence, mais l'amour véritable ne manque jamais son but.


mercredi 5 mai 2021

L'avortement à 9 mois !!!

Oui, l’avortement jusqu’au 9ème mois de grossesse risque d’être bientôt légalisé en France !  😕

Vous voyez, si cet amendement est approuvé, il sera de facto possible de tuer son bébé jusqu’au terme de la grossesse sur simple demande.

Et ce sera d’autant plus aisé que la plupart des médecins avorteurs sont des militants, souvent proches du Planning familial, le lobby de l’avortement.

Quant aux gynécologues qui s’y refuseraient, ils pourraient s’exposer à des poursuites judiciaires puisque, comme vous le savez, la clause de conscience des médecins relative à l’avortement est dans le viseur des députés.

De nombreux bébés sont viables et naissent à partir du sixième mois. Alors avorter un bébé au neuvième mois ...

Neuf mois, c’est le moment où le berceau est prêt pour accueillir le nourrisson et où les premiers vêtements sont mis dans la valise pour la maternité.

Ce que veulent les promoteurs de cet amendement, c’est que l’on puisse remplacer ce moment merveilleux par une mise à mort au moyen d’ignobles tortures !

Un avortement à ce stade de la grossesse n’est rien d’autre que l’exécution cruelle - sans anesthésie – d’un petit être qui ressent la souffrance comme vous et moi.

Pour réaliser sa besogne, l’avorteur empoisonne le bébé provoquant une agonie intra-utérus qui peut être longue.

Comment ose-t-on faire croire que l’accouchement d’un petit cadavre va résoudre la souffrance psychologique de la mère ?

Quel mensonge et quel cynisme !

On cache cette barbarie sous le sigle neutre d’IMG, mais il s’agit d’une pratique digne des camps de la mort.

Cet acte cruel scandaliserait, à juste titre, l’opinion s’il s’appliquait sur des animaux.

Ici, c’est d’un être humain innocent, d’un bébé, qu’il est question.

Ici on propose d’allonger le délai légal pour recourir à un avortement, là on prétend supprimer la clause de conscience des médecins, et maintenant on veut autoriser l’avortement d’un bébé sur le point de naître !

Qu’est-ce qui viendra après ça ? La légalisation de l’infanticide ?

 

😟

Commentaire de Pierre :
La déchéance humaine s'accélère de plus en plus, ce qui est conforme aux prédictions de la Bible.
Si vous voulez en savoir plus, écrivez-moi ici : paix@orange.fr


mercredi 24 mars 2021

Vaccins contre la Covid-19 et utilisation de cellules d’origine fœtale

 Dr Michel Cambrelin 

La pandémie Covid-19 due au nouveau Coronavirus SARS-CoV-2 n’épargne pas nos sociétés occidentales, qui sont fortement ébranlées malgré leur richesse et leur technologie. 

Après les échecs successifs des tentatives de contenir cette épidémie, la vaccination nous est présentée comme la planche de salut. Cette vaccination a pour principe de présenter à l’organisme receveur des éléments inoffensifs appartenant au virus, ce qui va lui permettre de fabriquer des anticorps prêts à le défendre lorsque le virus essaiera de le pénétrer. 

Pour ces vaccins différentes techniques ont été utilisées, qui pour certaines sont assez nouvelles, que nous expliquerons plus loin. De multiples questions et rumeurs circulent sur les vaccins Covid en particulier à ARN messager (ARNm), auxquelles l’OMS et la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française ont apporté leurs réponses. 

Cependant une autre question interpelle les chrétiens, respectueux de la vie humaine constituant un don de Dieu dès la conception , question qui n’est pas abordée dans les médias ni dans les recommandations scientifiques : certains vaccins contre la Covid auraient été élaborés à l’aide de cellules de fœtus avortés !

 Nous allons tenter d’apporter les éléments de réponse nécessaires à cette question, qui semble ignorée du débat public, sans aborder les autres questions d’innocuité et d’efficacité de ces vaccins qui ont aussi leur importance éthique.

 I - Quels sont les vaccins contre la Covid utilisant des cellules d’origine fœtale ? Des cellules provenant de fœtus avortés sont effectivement utilisées par certains laboratoires pour leur vaccin, mais de manière plus ou moins importante et à différents stades : 

 Pour leur conception et développement  Au cours de leur production industrielle  A l’occasion des Tests de contrôles en laboratoire, nécessaires en cours de production.

C’est le cas, à un degré modéré, pour les vaccins des laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY)  et MODERNA (COVID-19 VACCINE MODERNA) . De même mais à un degré plus important, pour le vaccin de ASTRA ZENECA7 et OXFORD (COVID-19 VACCINE ASTRAZENECA)


 Qu’est qu’une lignée cellulaire d’origine fœtale ? 

Il s’agit de cellules cultivées à partir de cellules provenant d’organes de fœtus avortés. Voici les 2 lignées utilisées pour certains vaccins contre la Covid : 

 La lignée HEK2938 9 est issue du rein d’un fœtus avorté en 1972 aux Pays-Bas, elle est la plus fréquemment utilisée ici. 

 La lignée PER.C610 est issue du tissu rétinien d'un fœtus de 4 mois avorté aux Pays-Bas en 1985. L’utilisation de Cellules Souches Embryonnaires Humaines (CSEH) pour la recherche en France est régie par l’Agence de la biomédecine11 , selon une réglementation stricte qui risque d’être hélas assouplie par le projet de loi bioéthique en cours de débat. Ces cellules issues donc d’un organe de fœtus sont cultivées et multipliées « à l’infini » comme si elles devenaient « immortelles », et sont donc utilisées pour des recherches en laboratoire. 

 Il est à noter que leur utilisation (et donc la conception de produits tels que des vaccins qui utiliseraient cette technique) ne nécessite donc pas de nouvel avortement, et que les avortements dont il est question n’ont pas été provoqués dans le but de la recherche médicale. Leur avantage par rapport à des cellules adultes est qu’elles se multiplient plus longtemps et que leur patrimoine génétique est moins susceptible d’être altéré (par des mutations ou des contaminations virales ou bactériennes).


mardi 23 février 2021

« Toujours plus d’IVG »

 « Toujours plus d’IVG » paraît être devenu le mantra des législateurs depuis la loi Veil. 

Alors que l’Allemagne et l’Italie, grâce à des politiques de prévention, n’enregistrent « que » 100 000 avortements par an, la France en compte plus de 230 000 (232 244 avortements en 2019) et laisse les femmes à la merci de pressions sociale, médicale et économique.

 Le délai de réflexion d’une semaine a été supprimé en 2016, par la loi de « modernisation » du système de santé. Pire : depuis 2017, ceux qui voudraient mettre en œuvre une prévention en accompagnant les femmes enceintes encourent les foudres de la loi. 

Le déni de l’identité propre de l’embryon ou du fœtus (« un amas de cellules » selon la précédente ministre de la Santé, Agnès Buzyn) a beau contredire l’évidence scientifique que la mère et son bébé ont des corps distincts, dotés d’ADN différents, la science est priée de s’éclipser devant le vieux slogan féministe : « Mon corps m’appartient ».



Commentaire de Pierre : Il parait que les "vaccins" à ARN messager ont été conçus à partir de tissus prélevés sur des bébés avortés : Le summum de l'horreur !


mercredi 20 janvier 2021

Avortement : au cœur du système

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Profitant de l’état de sidération des Français dans le contexte de la crise sanitaire, le gouvernement a décidé de passer en force sur l’ en imposant, sans débat national, l’allongement du délai légal de l’ de 12 à 14 semaines. Le projet, déjà adopté par 86 députés, le 9 octobre dernier. Il passe outre les réticences du Syndicat national des gynécologues obstétriciens et celles de l’Académie de médecine, deux instances majeures en matière d’expertise médicale. 😞