vendredi 4 juillet 2025

C'est risqué...!

 

La plupart des gens sont désinformés par la propagande du lobby de l’avortement.

Ils croient que l’« IVG » est un acte sans danger pour la santé de la femme.

S’ils lisent « 50 questions et réponses contre l’avortement », ils sauront que c’est faux.

Une femme qui se soumet à un avortement peut développer, parmi d’autres, les pathologies suivantes :

  • Hémorragie : À une époque où le sang peut transmettre le virus du SIDA, l’hémorragie utérine peut mettre en péril la vie de la mère : des femmes qui avortent peuvent, en effet, nécessiter de transfusions de sang, suite à d’importantes hémorragies.
  • Infection : S’il reste des débris fœtaux dans l’utérus ou si les instruments ne sont pas stériles, la mère risque la stérilité à vie par infection des trompes utérines.
  • Lésions du cervix : Les instruments utilisés pour dilater le col utérin peuvent l’endommager, pouvant provoquer, par sa béance, des fausses couches et des naissances prématurées.
  • Utérus perforé : Une curette peut perforer la paroi utérine, en provoquant une inflammation (péritonite) ; cela peut aboutir à l’ablation de l’utérus tout entier, rendant la femme stérile pour toujours.
  • Intestins perforés : Si, au cours d’une aspiration ou d’un curetage, par fausse manœuvre, l’instrument employé perfore l’utérus puis le côlon, il s’ensuit une

opération chirurgicale (résection) pour enlever la portion endommagée de l’intestin.

Vous comprenez pourquoi il est si urgent et si important de rétablir la vérité ?


Adèle Cottereau



 

dimanche 8 juin 2025

A peine croyable !

Des pratiques horribles dans les hôpitaux laissent des bébés nés vivants après des avortements tardifs mourir seuls et sans soins.

Dur à imaginer, n’est-ce pas ?

Nous n’avons malheureusement pas de données sur le nombre de ces nourrissons innocents négligés, qui souffrent dans des conditions atroces ou sont utilisés pour la recherche comme cobayes de laboratoire. Rien ne filtre, derrière les portes closes de ces hôpitaux qui pratiquent ces sordides agissements…

Sauf, quand du personnel soignant craque et témoigne, sous couvert d’anonymat la plupart du temps, par peur de représailles.

Nous devons agir immédiatement pour mettre fin à cette inhumanité. De plus en plus de pays légalisent les avortements tardifs, ce qui signifie que davantage de bébés nés vivants ont besoin de notre protection. Dans plusieurs pays déjà, notamment en Amérique du Nord, les avortements tardifs vont même jusqu’à neuf mois !!!


Impensable en France, me direz-vous ?

Et bien pourtant, l’Assemblée nationale a adopté, depuis 2020, un amendement pour pouvoir avorter jusqu’au 9ᵉ mois pour "détresse psychosociale”, incluant la précarité, la souffrance psychologique et si la mère adopte des comportements hétéro-agressifs envers le fœtus (coups, coups de couteau, médicaments, etc.). Le bébé sera éliminé avant d'être tué par la mère.

Si la mère va mal ou est dans une situation difficile, au lieu de mettre en place une aide spécifique, on lui offre de la délester de son bébé de neuf mois !?!


mercredi 30 avril 2025

La souffrance du foetus !

Le foetus souffre   


Stuart Derbyshire, de l'École de psychologie de Birmingham, s'est penché sur la question de la souffrance du foetus et sur la nécessité de donner des antalgiques à une femme qui avorte.

Ce n'est pas parce que les circuits neurologiques du foetus sont encore immatures, ni parce qu'ils n'ont pas acquis un niveau de conscience développé permettant une expression de la douleur, que la question de l'acceptabilité de l'IVG est résolue, explique-t-il dans le British Medical Journal. Il ajoute que même si le foetus ne souffre pas, les questions d'ordre moral et légal posées par l'avortement demeurent entières.

Aux États-unis, des instances réfléchissent à une loi sur l'avortement pour des foetus de plus de 22 semaines, mentionnant l'obligation de délivrer des antalgiques pour diminuer la douleur ressentie par le foetus. Une information aux mères sur les douleurs du foetus devrait également être délivrée. 

Au Royaume-Uni, des images d'échographie en couleur et en 3 D sont diffusées, pour suggérer que les foetus ont des réactions cognitives et émotionnelles. 

Stuart Derbyshire explique que des développements neurologiques importants ont lieu au cours des 7e, 18e et 22ème semaines de gestation mais cela ne suffit pas pour nous éclairer sur la souffrance du foetus.

Pour ressentir une douleur, explique-t-il, il faut que l'esprit de la personne ait subi une maturation, au même titre que ses centres nerveux et cérébraux, ce qui n'est pas le cas au stade foetal. Une vie terrestre extra-utérine est selon lui nécessaire à l'évolution de la subjectivité. Pour que la fonction de conscience se développe, un environnement propice, psychologique et sensoriel est nécessaire.

Aujourd'hui, il n'existe pas suffisamment d'arguments pour faire prescrire des antalgiques chez des foetus.

Le Quotidien du Médecin (Dr Béatrice Vuaille)   


mardi 25 mars 2025

Les avortements tardifs

Des pratiques horribles dans les hôpitaux laissent des bébés nés vivants après des avortements tardifs mourir seuls et sans soins.

Dur à imaginer, n’est-ce pas ?

Nous n’avons malheureusement pas de données sur le nombre de ces nourrissons innocents négligés, qui souffrent dans des conditions atroces ou sont utilisés pour la recherche comme cobayes de laboratoire. Rien ne filtre, derrière les portes closes de ces hôpitaux qui pratiquent ces sordides agissements…

Sauf, quand du personnel soignant craque et témoigne, sous couvert d’anonymat la plupart du temps, par peur de représailles.

Nous devons agir immédiatement pour mettre fin à cette inhumanité. De plus en plus de pays légalisent les avortements tardifs, ce qui signifie que davantage de bébés nés vivants ont besoin de notre protection. Dans plusieurs pays déjà, notamment en Amérique du Nord, les avortements tardifs vont même jusqu’à neuf mois !!!


Impensable en France, me direz-vous ?

Et bien pourtant, l’Assemblée nationale a adopté, depuis 2020, un amendement pour pouvoir avorter jusqu’au 9ᵉ mois pour "détresse psychosociale”, incluant la précarité, la souffrance psychologique et si la mère adopte des comportements hétéro-agressifs envers le fœtus (coups, coups de couteau, médicaments, etc.). Le bébé sera éliminé avant d'être tué par la mère.

Si la mère va mal ou est dans une situation difficile, au lieu de mettre en place une aide spécifique, on lui offre de la délester de son bébé de neuf mois !?!

Anonyme 

Commentaire :

Tout ces tueurs professionnels seront condamnés par DIEU et jeté en enfer où ils souffriront éternellement sans le moindre espoir d'en sortir...!

mardi 18 février 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.

Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


Commentaire : DIEU fera justice lors du jugement dernier, ça va être terrible !

lundi 13 janvier 2025

L’eugénisme n’est pas un droit de l’homme


Supprimer son bébé à naitre en raison de sa trisomie 21 doit-il être considéré comme un droit de l’homme ? Tel est le grave enjeu de l’affaire en cours de jugement au niveau de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui s’apprête à déterminer si des parents ont un droit fondamental à recourir à la procédure de dépistage et d’élimination prénatale des enfants malades ou handicapés.

Un jugement positif reviendrait à reconnaître un droit fondamental à l’eugénisme à l’encontre des personnes handicapées.

Face au danger de voir la procédure de dépistage et d’élimination prénatale systématisée et consacrée comme un droit de l’homme, les signataires de cette déclaration, associations, familles et proches de personnes trisomiques et handicapées, en appellent à la conscience de la Cour et des institutions européennes afin qu’elles reconnaissent l’humanité et protègent le droit à la vie des personnes trisomiques et handicapées. 

Reconnaître comme droit de l’homme celui de supprimer la vie des enfants trisomiques avant leur naissance conduit à stigmatiser un groupe humain sélectionné sur la base de son génome, à nier purement et simplement l’humanité des personnes souffrant de cette pathologie, et à instaurer le mécanisme de leur élimination.

Aujourd’hui c’est l’élimination systématique des enfants trisomiques en Europe qui constitue une vraie violation des droits de l’homme, et non que certains d’entre eux aient échappé à cette sélection.

Nous, associations, personnes handicapées et leur famille, nous demandons à la Cour de réaffirmer le principe de l’interdiction de l’eugénisme ainsi que l’obligation des Etats de protéger la vie de toute personne, y compris celle des personnes handicapées avant leur naissance. C’est un enjeu d’humanité pour notre société européenne.


Commentaire :

 Tout ces assassins seront condamnés pour meurtre par le JUGE suprême, DIEU !


jeudi 12 décembre 2024

Le Génocide continue...

Il n'y a pas de génocide à Gaza, mais il est mondial et entre autre : 

Il n’y a jamais eu autant d’avortements en France.

Tenez-vous bien, 234 000 bébés ont péri suite à une « IVG » en 2022.

Jamais l’on n’a autant tué dans ce pays.

Si c’étaient des adultes qui avaient été ainsi supprimés et non des enfants à naître, cela ferait la Une de tous les journaux.

Ce serait même très probablement le sujet n°1 des élections européennes.

Mais ici, pas un mot. Pourquoi ? Parce que personne ne voit ni n’entend les petites victimes.

Vous et moi ne pouvons pas nous habituer à cette injustice.

Nous avons le devoir de rendre visible le sort des enfants à naître...