mercredi 28 décembre 2022

La fête du Nouvel An est-elle pour les chrétiens ?

 

Les indications du passé

Les festivités du Nouvel An ne datent pas d'aujourd'hui. Des inscriptions anciennes les mentionnent déjà à Babylone au troisième millénaire avant notre ère. La fête, qui avait lieu à la mi-mars, était un événement très important. Selon la World Book Encyclopedia, " le dieu Mardouk décidait à cette époque-là du destin du pays pour la nouvelle année ". La célébration du Nouvel An babylonien durait 11 jours et comportait des sacrifices, des processions et des rites de fertilité.

Pendant un temps, l'année romaine débutait elle aussi au mois de mars. Mais en 46 avant notre ère, l'empereur Jules César décréta qu'elle commencerait le 1er janvier. Ce jour, qui était déjà dédié à Janus, le dieu des commencements, allait désormais marquer le début du calendrier romain. La date changeait, mais l'ambiance festive subsistait. Encore aujourd'hui, les rites superstitieux jouent un rôle dans la fête. Le 1er janvier les gens " se livraient à la débauche, et à diverses formes de superstition païenne " du Nouvel An. Ainsi, dans certaines régions d'Amérique du Sud, beaucoup de personnes accueillent la nouvelle année en se tenant sur leur pied droit. D'autres klaxonnent et font exploser des pétards. Ces rites visant à conjurer le mauvais sort et à garantir la prospérité ne font que perpétuer la croyance antique selon laquelle le début de l'année détermine le destin de chacun.



Le point de vue biblique

La Bible exhorte les chrétiens à marcher avec décence : non pas dans les orgies ni dans les soûleries. (Romains 13:12-14 ; Galates 5:19-21 ; 1 Pierre 4:3.) Les festivités du Nouvel An étant souvent marquées par les excès que la Bible condamne, les chrétiens n'y participent pas. Cela ne signifie pas qu'ils soient des rabat-joie. Au contraire, ils savent que la Bible encourage à plusieurs reprises les adorateurs du vrai Dieu à se réjouir, et ce pour des occasions diverses (Deutéronome 26:10, 11 ; Psaume 32:11 ; Proverbes 5:15-19 ; Ecclésiaste 3:22 ; 11:9). La Bible admet également que la nourriture et la boisson font souvent partie des réjouissances. (Psaume 104:15 ; Ecclésiaste 9:7a).

Toutefois, comme nous l'avons vu, les festivités du Nouvel An tirent leurs racines de coutumes païennes. Le faux culte étant impur et détestable aux yeux de Dieu, les chrétiens rejettent les pratiques ayant de telles origines (Deutéronome 18:9-12 ; Ézékiel 22:3, 4). L'apôtre Paul a écrit : " Quels rapports ont la justice et l'illégalité ? Ou quelle participation la lumière a-t-elle avec les ténèbres ? En outre, quelle harmonie y a-t-il entre Christ et Bélial ? " Puis il a ajouté, à juste titre : " Cessez de toucher la chose impure. " (2 Corinthiens 6:14-17a).

Les chrétiens sont également conscients que ce ne sont pas des rites superstitieux qui garantissent le bonheur et la prospérité, d'autant plus que la participation à de telles fêtes peut leur valoir la défaveur divine (Ecclésiaste 9:11 ; Isaïe 65:11, 12). Par ailleurs, la Bible encourage les chrétiens à faire preuve de modération et de maîtrise de soi dans leur conduite (1 Timothée 3:2, 11). De toute évidence, il serait inconvenant pour quelqu'un qui dit suivre les enseignements du Christ de prendre part à une célébration caractérisée par la débauche.

Si attrayantes que puissent paraître les festivités du Nouvel An, la Bible nous ordonne de ' cesser de toucher la chose impure ' et de ' nous purifier de toute souillure de la chair et de l'esprit '. À ceux qui obéissent à cet ordre, Dieu offre cette garantie réconfortante : " Je vous accueillerai. (...) je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles. " (2 Corinthiens 6:17b-7:1). En effet, il promet des bénédictions et la prospérité éternelles à ceux qui lui sont fidèles. - Psaume 37:18, 28 ; Révélation 21:3, 4, 7.

Lorsque l'apôtre Paul parle d'orgies et de soûleries, il se peut qu'il inclut celles qui avaient cours durant les festivités du Nouvel An, puisqu'elles étaient déjà en vogue à Rome au Ier siècle.



mardi 20 décembre 2022

La vérité sur noël

   Je déclare la guerre à Noël !

Noël est sans aucun doute la fête la plus dévoyée qui existe au monde. On est si loin de la naissance d’un enfant dans une crèche ! C’est aussi la fête la plus profane de l’année ! J’en deviendrais presque un ermite,  – humour – pour ne plus avoir à subir les pubs de Noël, le marketing de Noël, les sapins de Noël, les illuminations de Noël et encore moins le fameux Père Noël dont les origines sont plus que troubles ! 

Noël et tous ceux qui parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un cadeau à leur gamin, finissent par croire qu’ils sont de mauvais parents ! Mais c’est faux !

Noël et son côté glin-glin totalement ringard et proprement insupportable. Tout le monde doit être gentil ce jour-là, on doit jouer le rôle des bons parents même si tout le reste de l’année ce sont disputes sur disputes à la maison ! Il faut s’habiller beau, il faut raconter des histoires incroyables aux gamins ! 


J’ai commencé à me douter que le père Noël ne passait pas par la cheminée, lorsque nous avons quitté le pavillon où nous habitions avec mes frères pour arriver dans un superbe appartement. Là, pas de cheminée ! Je me suis donc inquiété de savoir…..enfin comment cela allait-il se passer pour les cadeaux quoi ? Pas de réponse ! Mais les cadeaux étaient quand même là ! Bon allez, je n’ai rien dit, mais j’ai reniflé l’arnaque ! Et puis qu’est-ce qu’il fait le père Noël tout le reste de l’année ? Franchement !

Non, je n’aime pas ce Noël que nos supermarchés, hauts lieux de la consommation, temples du dieu Mammon, ont idolâtré au point qu’à lui tout seul Noël est presque devenu une religion !

Voilà pourquoi officiellement je déclare la guerre à Noël et à tous ses alliés connus et souterrains ! Arrêtez d’acheter des cadeaux qui ne servent à rien. Nos enfants ne savent plus quoi faire de cette surabondance de jouets inutiles. Nos placards sont remplis de vêtements que nous ne porterons jamais et nous avons même des tas de livres qui nous encombrent parce qu’offerts par des gens qui les ont aimés mais dont nous, nous n’avons absolument rien à faire !

Je ne suis pas nostalgique d’un Noël d’antan, je ne l’ai jamais connu. Je trouve que ce jour-là devrait être un jour comme les autres et puis c’est tout ! Résistons, refusons d’entrer dans un moule et revenons à des valeurs familiales simples.

Samuel Foucart



vendredi 2 décembre 2022

Bientôt l'euthanasie !

 TUER N’EST PAS SOIGNER !

Accepteriez-vous que votre médecin puisse administrer à vous ou à vos proches une injection mortelle ?  Je suis sûr que non ! Sachez pourtant que c’est ce qui risque de vous arriver prochainement si vous êtes âgé ou gravement malade.


Le président de la République française a en effet fait savoir qu’il avait l’intention de demander aux parlementaires de légiférer sur le suicide assisté. Et cela très rapidement.

La vie serait ainsi menacée aux deux extrémités de la chaîne : au début avec l’avortement, et à la fin avec cette loi sur « l’aide active à mourir ».



Commentaire de Pierre : 

Tout ces assassins devront bientôt rendre compte de leurs actes devant le juge suprême : Jésus Christ



vendredi 11 novembre 2022

« L'un des dangers principaux du XXIe siècle »

François Billot de Lochner, le président de l’association Stop au porno.

Pourquoi attirer ainsi l’attention du public sur ce phénomène ?

Tout simplement parce que la déferlante pornographique constitue, dans une grande indifférence générale apparente, l’un des dangers principaux que le XXIe siècle aura à affronter.

D’un côté, il ne fait plus aucun doute que la pornographie est un drame pour chaque personne et pour la société tout entière. En effet, il est désormais prouvé scientifiquement que la consommation de matériaux pornographiques abîme le cerveau (la dopamine, essentielle pour notre activité primaire, est gravement endommagée par une consommation pornographique outrancière), transforme peu à peu la personne en objet de consommation dont on peut faire n’importe quoi, détruit l’unicité qui fait la beauté de chaque être humain en réduisant celui-ci à un simple objet de jouissance, abîme le si nécessaire lien social entre les personnes, enferme peu à peu le consommateur de matériaux pornographiques dans la simple consommation de plaisirs fugitifs, etc.

Ce que je décris là correspond à de très nombreuses études réalisées par des spécialistes en neurosciences, par des psychologues, par des sociologues, par des médecins ou par des formateurs compétents. Les très nombreux témoignages que je reçois révèlent l’ampleur du problème, qui touche toutes les générations, et notamment les enfants, désormais au cœur de la déferlante pornographique.

Cela étant dit, la société tout entière se couche devant un phénomène qu’elle pense immaîtrisable et qui la met profondément mal à l’aise. L’idéologie libertaire est implantée dans nos sociétés à un point tel que toute atteinte présumée à la « liberté » est considérée comme intolérable. Réguler ou interdire la pornographie serait donc insupportable pour nos libertés. Tant pis si la société tout entière, et chaque personne en particulier, se met en grand danger par rapport à ce phénomène.

Si le sujet n’était pas d’une extrême gravité, tant de bêtise de la part de nos dirigeants politiques devrait générer, chez chacun d’entre nous, d’irrépressibles et incontrôlables fous rires. En réalité, depuis des dizaines d’années, la classe politico-médiatique, l’Éducation nationale et le système judiciaire se tiennent les coudes pour promouvoir autant que possible la dérive pornographique de la société tout entière.

Nous faisons beaucoup de publications sur le sujet de la pornographie depuis plusieurs années, afin que nos lecteurs comprennent que la pornographie est un projet ancien des élites, visant à détruire une société fondée sur des valeurs chrétiennes détestées, et afin de leur donner des clés précises de lutte contre ce fléau.



mercredi 12 octobre 2022

En France un bébé sur quatre est l’objet d’une IVG.

Nous parlons beaucoup d’un droit que l’on veut institutionalisé qui est le droit à l’avortement. Le droit de la femme semble primé sur le droit de l’enfant. Pour justifier l’IVG le discours porte toujours sur des cas extrêmes. Mais de quoi parlons-nous, et ce qu’il faut savoir.

1 – Les délais pour pratiquer une IVG dépendent de la méthode choisie :

L’IVG chirurgicale peut être pratiquée jusqu’à la fin de la 14e semaine de grossesse, soit 16 semaines après le début des dernières règles.

L’IVG médicamenteuse est pratiquée jusqu’à la fin de la 7e semaine de grossesse, soit au maximum 9 semaines après le début des dernières règles.


2 – Développements du fœtus

2.1 Premier trimestre : de la fécondation à 14 semaines.

À 5 semaines de grossesse, le cœur de l’embryon commence à battre, mais il n’est pas encore possible de l’entendre lors de l’examen médical.

À 6 semaines, l’embryon mesure 5 mm.

À 7 semaines, la tête de l’embryon est beaucoup plus grosse que le reste de son corps. Ses bras commencent à se former, avec l’apparition des coudes et des mains. Ses doigts ne sont pas encore séparés les uns des autres. Ses yeux sont bien visibles.

À 10 semaines, l’embryon a déjà une apparence humaine : on peut distinguer ses yeux, son nez et sa bouche. Ses paupières sont fermées. Ses doigts sont maintenant séparés et ses orteils commencent à se former. Il commence à bouger ses membres, mais vous ne pouvez pas encore le sentir.

Il passe du stade d’embryon à celui de fœtus : toutes les parties de son corps sont en place, mais elles ne sont pas encore complètement formées. Elles vont continuer à croître et à se développer tout au long de la grossesse.

 Entre 10 et 14 semaines, le fœtus grandit et les os de son squelette commencent à se former.

À 14 semaines, il mesure 8,5 cm. Les organes génitaux du bébé sont assez développés pour permettre de savoir s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille, mais ils ne sont pas encore complètement formés. À l’échographie, c’est habituellement entre 16 et 18 semaines que vous pourrez connaître le sexe de votre bébé.

 2.2 Deuxième trimestre : de 15 à 28 semaines. 

Fœtus au début du deuxième trimestre.

À 16 semaines, sa tête semble toujours disproportionnée par rapport au reste du corps, mais son tronc, ses bras et ses jambes commencent à s’allonger.

Autour de 20 semaines, l’utérus est rendu à la hauteur du nombril. Les mouvements du bébé sont plus prononcés et assez forts pour les percevoir. Certaines femmes ressentent toutefois ces mouvements un peu plus tôt ou un peu plus tard dans la grossesse. Le bébé est enduit d’une sorte de crème blanche qui protège sa peau. On l’appelle le vernix caseosa.

À 22 semaines, le bébé mesure environ 19 cm. Ses cheveux commencent à pousser et son corps est couvert d’un petit duvet appelé lanugo.

 Entre 23 et 27 semaines, le bébé prend du poids et sa tête devient mieux proportionnée par rapport à son corps.

À 24 semaines, il entend les sons de basse fréquence provenant de l’extérieur de l’utérus.

Autour de 26 semaines, ses sourcils et ses cils sont visibles.

Autour de 28 semaines, les yeux du bébé commencent à s’ouvrir. Ils deviendront sensibles à la lumière plus tard, vers 32 semaines.

2.3 Troisième trimestre : de 29 semaines à la naissance

Fœtus à la fin du troisième trimestre.

À 30 semaines, le bébé mesure environ 28 cm.

À 36 semaines, la peau du bébé est rosée et son petit duvet commence à disparaître, même s’il peut demeurer présent jusqu’après la naissance. Le bébé est plus gros, à cause des réserves de graisse qu’il accumule.

Entre 37 et 42 semaines, il est prêt pour le grand jour!

 Conclusion :

A 5 semaines de grossesse, le cœur de l’embryon commence à battre. À 14 semaines, les organes génitaux du bébé sont assez développés pour permettre de savoir s’il s’agit d’un garçon ou d’une fille. Et c’est là que l’on peut pratiquer l’IVG. Certains militent pour que se soit à 16 semaines. Or à 16 semaines, sa tête semble toujours disproportionnée par rapport au reste du corps, mais son tronc, ses bras et ses jambes commencent à s’allonger. Ce n’est donc pas ou plus des simples cellules informes.

Résultats 232000 IVG et 741000 naissances fait à peu près qu’un bébé sur quatre disparait dans le cadre d’un IVG. Le droit de la femme est certes garanti qu’en est il du droit de l’enfant ?


lundi 5 septembre 2022

Dieu pardonne t’il les avortements ?

 Des millions de femmes et d’hommes, tant dans la société que dans l’église, souffrent de la culpabilité liée à l’avortement.

Si vous êtes une femme qui a eu un avortement, ou si vous avez conseillé à une autre de le faire, ce chapitre est pour vous. Si vous êtes un homme qui a été impliqué dans une décision d’avortement – qu’il s’agisse de votre petite amie, femme, fille ou n’importe qui d’autre, c’est aussi pour vous.

Il est contre-productif d’essayer d’éliminer le sentiment de culpabilité sans traiter sa cause. Certains peuvent dire: « Tu n’as rien fait de mal pour te sentir coupable ». Mais au fond de vous, vous le savez. Nier la réalité est le seul moyen d’éviter ce sentiment de culpabilité. Le déni favorise un effondrement émotionnel lorsque quelque chose vous rappelle l’enfant que vous avez porté. Vous avez besoin d’une solution permanente à votre problème de culpabilité, une solution basée sur la réalité et non un faux-semblant.

Parce que la Bible offre cette solution, je vais vous la citer. Demandez à votre pasteur, à votre responsable de groupe de femmes, à un ami chrétien ou à un membre de votre famille, de vous aider à comprendre.


L’œuvre du Christ

La bonne nouvelle est que Dieu vous aime et qu’Il désire vous pardonner votre avortement, que vous sachiez vraiment ou non ce que vous avez fait. Mais avant que la bonne nouvelle soit appréciée, nous devons faire face à la mauvaise nouvelle. La mauvaise nouvelle est qu’il y a une véritable culpabilité morale. Nous sommes tous coupables de nombreuses infractions morales contre Dieu, l’avortement n’étant que l’une d’elles. « Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu» (Romains 3.23)

Le péché, c’est de ne pas atteindre les normes saintes de Dieu. Cela nous empêche d’avoir une relation avec Dieu (Esaïe 59.2). Le péché nous trompe en nous faisant penser que le mal est bien et le bien est mal (Proverbes 14.12). «Le salaire du péché est la mort, mais le don de Dieu est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur» (Romains 6.23).

Jésus-Christ, le Fils de Dieu, nous a tellement aimés qu’il est devenu membre de notre humanité pour nous délivrer de notre problème avec le péché (Jean 3.16). Il s’est identifié à nous dans notre faiblesse, sans être entaché par le péché (Hébreux 2.17-184.15-16). Jésus est mort sur la croix alors qu’il était le seul capable de payer le prix de nos péchés, exigée par la sainteté de Dieu (2 Corinthiens 5.21). Il est ressuscité des morts, en vainquant le péché et en triomphant de la mort (1 Corinthiens 15.3-454-57).

Lorsque Christ est mort pour nous sur la croix, il a dit: «Tout est accompli» (Jean 19.30). Le mot grec traduit par « tout est accompli » était écrit sur les reconnaissances de dette quand la dette était acquittée. Cela signifiait « entièrement payé ». Christ est mort pour payer intégralement notre dette.

Pardon complet

Grâce à l’œuvre de Christ sur la croix pour nous, Dieu nous offre librement son pardon. Voici quelques-unes de ces offres:

Il ne nous traite pas selon nos péchés
Ou ne nous rend pas selon nos iniquités …
Autant l’orient est éloigné de l’occident,
Autant, il éloigne de nous nos transgressions.
Comme un père a compassion de ses enfants,
L’Éternel a compassion de ceux qui le craignent. (
Psaume 103.10-14).

«Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité» (1 Jean 1.9).

« Il n’y a maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ» (Romains 8.1).

Un cadeau qui ne peut être gagné

Le salut est un cadeau: «En effet, c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce n’est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter» (Éphésiens 2.8-9 ). Ce cadeau ne peut pas être obtenu par un travail, gagné ou mérité. Cela ne dépend pas de notre mérite ou de notre effort, mais uniquement du sacrifice du Christ pour nous.

Dieu nous offre le don du pardon et de la vie éternelle, mais il n’est pas automatiquement nôtre. Pour obtenir ce cadeau, nous devons choisir de l’accepter.

Vous pensez peut-être: «Mais je ne mérite pas le pardon après tout ce que j’ai fait. » C’est exact. Aucun d’entre nous ne mérite le pardon. Si nous le méritions, nous n’en aurions pas besoin. C’est la raison pour laquelle c’est par grâce. Christ a obtenu ce que nous méritons sur la croix, afin que nous puissions obtenir ce que nous ne méritons pas: un avenir sans dette, un nouveau départ.

Une fois pardonnés, nous pouvons être assurés de passer l’éternité avec Christ et notre famille spirituelle (Jean 14.1-3Apocalypse 20.11-22.6). Vous pouvez vous attendre à être réunis au paradis avec vos proches couverts par le sang du Christ, y compris l’enfant que vous avez perdu par l’avortement (1 Thessaloniciens 4.13-18).

Pas besoin d’en rester aux péchés passés

Une femme aux mœurs légères pleurait aux pieds de Christ, les embrassait et les essuyait de ses cheveux. Jésus dit à un spectateur critique: « C’est pourquoi, je te le dis, ses nombreux péchés ont été pardonnés: car elle a beaucoup aimé. » (Luc 7.47). Jésus nous offre ce même pardon à tous.
Dieu ne veut pas que vous passiez votre vie en vous punissant pour votre avortement ou pour toutes autres choses que vous avez faites. Votre responsabilité est d’accepter l’expiation du Christ, et non pas de la répéter. Jésus a dit à une femme immorale: « Tes péchés ont été pardonnés. Ta foi t’a sauvée ; Va en paix « (
Luc 7.47-50). Les femmes rejetées par la société sont venues à Jésus, et Il les a accueillies avec compassion et pardon.

Peu importe ce que vous avez fait, aucun péché n’est hors de portée de la grâce de Dieu. Il a vu le pire qu’il y a chez nous et pourtant Il continue de nous aimer. Il n’y a pas de limites à sa grâce et son pardon. Et il n’y a pas de liberté telle que la liberté offerte par le pardon.

Vous pouvez vous sentir immédiatement nettoyé lorsque vous confessez vos péchés, ou vous pourrez avoir besoin d’accompagnement pour le ressentir. Quoi qu’il en soit, vous êtes pardonné. Vous devriez essayer d’oublier ce qui s’est passé et d’avancer vers un avenir positif rendu possible par le Christ (Philippiens 3.13-14). Chaque fois que nous commençons à nous sentir impardonnables, il est temps de revenir à la Bible et de nous souvenir – et de le rappeler aux autres – du pardon offert par Dieu.

Le pardon suivi par les bons choix

Beaucoup de femmes qui ont eu des avortements ont une amertume compréhensible envers les hommes qui les ont utilisées et abusées, envers les parents qui ont fait pression sur elle et envers ceux qui les ont induites en erreur dans un choix entraînant la mort de leur enfant. Dieu s’attend à ce que nous acceptions le pardon qu’il nous offre et que nous l’étendions aux autres (Matthieu 6.14-15).

Vous avez besoin de faire partie d’une communauté thérapeutique, une famille de chrétiens appelée une église. (Si vous êtes déjà dans une église, partagez votre expérience liée à l’avortement avec quelqu’un de compétent pour obtenir l’aide dont vous avez besoin.) Vous pouvez vous sentir mal à l’aise parmi les chrétiens à cause de votre passé. Vous ne le devriez pas. Une véritable église centrée sur le Christ n’est pas une vitrine pour les saints, mais un hôpital pour les pécheurs. Vous ne serez pas jugé et condamné pour les péchés que Christ a pardonnés. Les personnes auxquelles vous vous joignez sont tout aussi humaines et tout aussi imparfaites que vous. La plupart des personnes dans les églises ne se considèrent pas comme des « justes ». Ceux qui se considèrent comme tels méritent notre pitié, car ils n’ont pas compris la grâce de Dieu.

Une église en bonne santé enseigne les vérités de la Bible, et vous donnera l’amour, l’accueil et le soutien dont vous avez besoin. Si vous ne trouvez pas une telle église dans votre région, contactez notre organisation et nous vous aiderons avec grand plaisir.

Une bonne chose que vous pouvez entreprendre est de toucher les femmes connaissant des grossesses non-désirées. Dieu pourrait utiliser votre expérience en vous équipant dans le but d’atteindre les autres et de partager avec elles l’amour de Dieu. Ma femme et moi avons un certain nombre de bons amis qui ont expérimenté des avortements. Grâce à leurs efforts pour favoriser la vie, ils ont donné à d’autres femmes l’aide qu’ils auraient souhaitée recevoir. Leurs témoignages ont non seulement sauvé la vie des enfants et les mères de la douleur de l’avortement, mais cela les a aussi aidés dans leur guérison. Il peut en être de même pour vous.

Randy Alcorn

lundi 1 août 2022

Le meurtre des enfants qui ne demandent qu'à naitre !

Jeudi dernier une nouvelle injustice et un nouvel abus du droit à la vie et de la souveraineté des États européens ont été consommés.

Malgré la crise sociale, politique et économique des familles, malgré la crise démographique qui met notre continent à genoux, le Parlement européen a approuvé hier la résolution par laquelle il veut inclure l’avortement dans la Charte européenne des droits.

Avec 324 voix pour, 115 contre et 38 abstentions, les bureaucrates européens ont décidé hier de se plier à l’agenda avorteur obsessionnel de la gauche radicale et de faire un pas en avant pour que l’avortement soit considéré comme un « droit », en promettant que la Charte des droits fondamentaux de l’UE serait réécrite avec le sang d’enfants innocents…

Un jour de deuil pour l’histoire des droits en Europe, mais malgré cela, je vous prie de ne pas vous laisser abattre.

Je veux que certaines choses soient claires pour vous :

Premièrement — la résolution n’a pas de valeur juridique particulière et n’est pas contraignante pour les États membres. Mais, elle a un poids politique qui ne peut pas nous laisser indifférents.

Deuxièmement — la décision m’a horrifié, mais pas surpris. J’avais prévenu que notre victoire pro-vie aux États-Unis déclencherait la colère des lobbies pro-mort et leur contre-attaque serait immédiate, et c’est ce qui s’est passé. Notre victoire les a intimidés, car ils nous avaient sous-estimés.

Eh bien, il est temps pour vous de prendre conscience du moment historique que nous vivons : NOUS SOMMES EN GUERRE !





lundi 20 juin 2022

La mère de Steph Curry avait prévu d’avorter

 « Dieu avait un plan pour cet enfant » : La mère de Steph Curry avait prévu d’avorter

Dans un podcast, elle est récemment revenue sur l’époque où elle était enceinte de Steph Curry. Elle pensait alors à l’avortement. Mais « Dieu avait un plan pour cet enfant », a-t-elle affirmé.

« Si j’avais vécu cela, il n’y aurait pas eu de Stephen Curry. Je ne veux plus prendre cette décision. Et maintenant, je dois juste faire confiance à Dieu pour qu’il aille de l’avant avec moi pour avoir cet enfant. »

Si elle explique avoir ressenti de la « honte » suite à son premier avortement, elle ajoute, « il y a des conséquences pour nos décisions. Mais… nous ne devrions pas vivre éternellement dans la honte et le jugement. Et la seule personne qui peut réellement nous donner cette tranquillité d’esprit, c’est Dieu. Et Il attend. Il est là pour le faire ».

M.C. 




mardi 17 mai 2022

L’embryon humain

 L’embryon humain : personne ou amas de cellules ?

Gènéthique vous informe 

Si le biologiste peut manifester une réelle fascination en contemplant sur un écran d’ordinateur le développement des premières cellules organisées issues de la fécondation, cherchant à percer le mystère impétueux de la vie qui conduira à la naissance de l’homme, la réalité engage bien davantage.

Qu’est-ce qu’un embryon humain ?

Regardons de plus près. Le professeur Lejeune, médecin co-découvreur de la trisomie 21, expliquait que « la constitution génétique de l’homme est achevée dès la fécondation ». Ce qui signifie que d’un point de vue scientifique, tout le patrimoine génétique de la personne, tout ce qu’elle est déjà et sera, est contenu dans cette première cellule fruit de la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovocyte. L’histoire a déjà commencé. En se développant, l’embryon humain deviendra un fœtus humain, un bébé humain, un adolescent, un homme, un vieillard, sans que rien de l’intérieur ne vienne entraver ce processus. Il disait : « Au commencement il y a un message, ce message est dans la vie, ce message est la vie. Et si ce message est un message humain, alors cette vie est une vie humaine ».

Commentaire de Pierre :

La justice humaine laisse vivre les assassins d'embryons, mais un jour la Justice divine sera manifestée.

mercredi 13 avril 2022

139 par minute

 Selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 73,3 millions d’avortements sont pratiqués en moyenne chaque année.

200 821 enfants innocents tués par jour.

8 367 enfants par heure.

Depuis que vous avez commencé à lire cet article, près de 139 avortements ont eu lieu. 139 par minute.

139 êtres humains comme vous et moi, mais plus petits.

Ce ne sont pas des statistiques.

 CitizenGO


Au jugement dernier, tout ces meurtriers seront jetés en enfer pour l'éternité.

mercredi 2 mars 2022

 

Féminicides : ces vérités cachées…

Sabine de Villeroché 

 

 

Pour l’année 2021, 113 victimes de « féminicide » ont été recensées, contre 102 en 2020.

En cette ère Covid où nul décompte des morts quotidiens ne nous est épargné, il n’est pas inintéressant de se rappeler que la première cause de mortalité dans le monde est l’avortement. C’est un rapport publié, le 31 décembre, par la société Worldometer qui nous l’apprend : « Les décès dus à l’avortement se chiffrent à 42,6 millions (pour 3,5 millions de décès Covid selon l’OMS) ».

L’Inde et la Chine, championnes bien connues de l’avortement sélectif au profit des naissances de garçons, en subissent les conséquences dramatiques aujourd’hui et déplorent un déficit cruel de leur population féminine. Elles ne sont pas les seules : il manquerait, dans le monde entier, 23 millions de femmes depuis 1970.

L’Europe n’est pas épargnée : en 2014, une enquête publiée par le journal The Independent révélait qu’en Angleterre, un milliers de fœtus féminins seraient supprimés chaque année et qu’il manquerait, en conséquence, entre 1.400 et 4.700 filles au pays. L’Albanie, le Kosovo, le Monténégro, la Suède, les Pays-Bas (depuis 2007, année de la mise en place de l’échographie généralisée à la vingtième semaine de grossesse) pratiquent, eux aussi, l’avortement sélectif.

 Sujet jamais évoqué en France lorsqu’on évoque les « violences faites aux femmes » où l’allongement du délai légal pour avorter pourrait tout naturellement favoriser la pratique des avortements sélectifs.

Commentaire de Pierre 

Le Seigneur Jésus va bientôt intervenir contre tout ces assassins, alors mettez votre vie en règle avec DIEU pendant qu'il en est encore temps !

mardi 25 janvier 2022

Le retour des « Survivants »


Ce mouvement entend dénoncer la banalisation de l’avortement par des actions fortement médiatisées. Explications d’Émile Duport, l’un des organisateurs.

Pourquoi le mouvement « Les Survivants » resurgit-il tout d’un coup sur la scène médiatique ?


Ce mouvement, créé en 1998, rassemblait des jeunes nés après la loi Veil, qui n’avaient logiquement pas pu s’exprimer au moment du vote de la loi dépénalisant l’avortement.

 « Survivants », car nous estimons que nous avions 1 chance sur 5 de ne pas voir le jour : chaque année en France, 200 000 avortements sont pratiqués pour 800 000 naissances.

Aujourd’hui, nous sommes 200 jeunes, animés par le désir de dénoncer les dégâts causés par la loi de 1975. Par des actions radicales, surprenantes et inattendues, nous voulons faire prendre conscience à la société de ce que représente réellement un avortement, et que des alternatives à l’IVG doivent être développées.

Hugues Lefèvre et Pierre Erceau