vendredi 29 mai 2020

Arthur Rubinstein

Voici ce qu'a dit le grand pianiste Arthur Rubinstein : "Ma mère ne voulait pas d'un 17e enfant. Elle avait donc décidé de se débarrasser de moi. Mais il s'est alors passé quelque chose de merveilleux. Ma tante l'a dissuadée d'avorter, ce qui m'a permis de naître. Pensez-y ! Je suis un miracle vivant !

" Combien de centaines et de milliers d'enfants dont on n'entend plus parler auraient pu apporter au monde leur talent et leur contribution ! Rien qu'en Amérique, parmi les 40 millions d'enfants que nous avons mis à mort, combien auraient pu devenir des dirigeants de valeur ou apporter leur contribution à la société et à la gloire de Dieu ! Nous sommes en train d'avorter notre propre peuple ! 

C'est la même chose que de perdre des soldats dans une guerre sur un sol lointain. La seule différence est l'endroit de la mort. Dans le cas d'un avortement, cela se passe sur le sol américain, et la bataille se déroule dans le ventre de la mère. Si celle-ci peut accepter l'idée de mettre à mort l'enfant qu'elle porte, c'est l'ennemi de la vie qui a gagné. Peu importe si l'on choisit une balle, du gaz, ou tout autre moyen pour mettre fin à une vie. Ce qui compte, c'est la fin que l'on recherche. 

La mort reste la mort, qu'elle survienne à 6 jours, à 6 semaines, à 5 mois, à un an ou à 80 ans. Le sondage Gallup du 28 février 1991 a montré que 82 % des Américains ignoraient qu'une nouvelle loi avait légalisé l'avortement pendant toute la durée des neuf mois de la grossesse.