lundi 26 février 2024

Les anti-avortements

 Ceux qui prétendent s'inspirer de la Bible pour faire le mal ne sont pas représentatifs de la vérité de Dieu.

 Nous ne sommes pas sous la loi de l'Ancien Testament. Personne ne devrait se faire justice soi-même. Ceux qui font du mal à ceux qui avortent, ou qui les tuent, sont devenus exactement semblables à ceux qu'ils voulaient éliminer. Ce n'est que du terrorisme. Il n'est pas sanctifié sous prétexte qu'il est pratiqué au nom du Seigneur. On usurpe la place de Dieu.

 Nous devons avoir de l'amour pour les tous hommes, pas pour leurs pratiques. Dieu nous a aimés alors que nous étions des pécheurs. Le péché concerne tout ce qui est contraire à la volonté de Dieu. Certes, certains péchés entraînent des conséquences et des punitions plus graves que d'autres. Mais nous devons laisser Dieu en décider. Sinon, nous prenons la place du juge, et nous serons jugés nous-mêmes par Dieu.

Il appartient à Dieu seul de donner la vie et de la reprendre. Si nous supprimons la vie quand nous ne sommes pas directement menacés, nous devenons nous-mêmes des meurtriers. S'ils ne se repentent pas, ces meurtriers devront passer l'éternité en compagnie de ceux qu'ils ont voulu supprimer. Christ nous a enseigné de ne pas rendre le mal pour le mal, ni l'injure pour l'injure. Laissons Dieu décider. Jésus a dit qu'il nous sera fait comme nous avons fait. Job lui-même a écrit : "Si j'ai été joyeux du malheur de mon ennemi, si j'ai sauté d'allégresse quand les revers l'ont atteint, moi qui n'ai pas permis à ma langue de pécher, de demander sa mort avec imprécation" (Job 21 :29-30). Job ne s'est pas permis de médire de ceux qui faisaient le mal.

 Ceux qui prétendent représenter Christ et qui usent de violence sont pires que ceux qui travaillent dans des cliniques d'avortement. Car ceux-ci ne savent pas ce qu'ils font, n'étant pas Chrétiens. Si vous êtes Chrétien, vous devez savoir ce que vous faites. Vous ne devez pas agir comme les membres de l'Inquisition, qui forçaient les gens à se convertir.

Ceux qui veulent supprimer les avorteurs font référence en particulier au passage suivant : "Si un homme tue quelqu'un, on ôtera la vie au meurtrier, sur la déposition de témoins. Un seul témoin ne suffira pas pour faire condamner une personne à mort. Vous n'accepterez point de rançon pour la vie d'un meurtrier qui mérite la mort, car il sera puni de mort" (Nombres 35 :30-31).

C'est une parole à double tranchant. Car si on l'utilise pour tuer un médecin avorteur, elle s'applique aussi au meurtrier de l'avorteur ! Nous n'avons pas le droit d'être les exécuteurs de la justice de Dieu ! En outre, la Loi de l'Ancien Testament a été donnée à Israël, qui était une théocratie. Aujourd'hui, nous ne sommes pas une théocratie. Vous ne pouvez pas faire votre propre gouvernement théocratique. Israël avait été choisi par Dieu pour être Son peuple. Si des Chrétiens veulent vivre selon les préceptes divins, ils sont libres de le faire. Mais ils ne peuvent pas forcer les autres à faire de même, ni leur appliquer les pénalités de la loi. Nous devons simplement leur dire ce que Dieu dit à ce sujet.

Le Nouveau Testament définit quels doivent être nos rapports avec les autres : "Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous ? Les publicains aussi n'agissent-ils pas de même ? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d'extraordinaire ? Les païens aussi n'agissent-ils pas de même ? Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait" (Matthieu 5 :44-48). "Parfait" signifie "sans défaut ni erreur", c'est un état de maturité complète.

Dans Romains 13 :9-10, Paul cite Jésus ainsi que l'Ancien Testament : "En effet, les commandements : Tu ne commettras point d'adultère, tu ne tueras point, tu ne déroberas point, tu ne convoiteras point, et ceux qu'il peut encore y avoir, se résument dans cette parole : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. L'amour ne fait point de mal au prochain : l'amour est donc l'accomplissement de la loi" (Romains 13 :9-10). Ceux qui veulent faire appliquer les lois de Dieu en faisant du mal à autrui brisent eux-mêmes ces lois. Nous devons aimer notre prochain, qu'il soit Chrétien ou non.

La crainte du Seigneur est le commencement de la sagesse. C'est l'amour de Dieu qui nous pousse à la repentance. "L'amour est patient, il est plein de bonté ; l'amour n'est point envieux ; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s'irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité ; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout" (1 Cor. 13 :4-7). Jésus-Christ n'a jamais commandé à Ses disciples de combattre les hommes. Il a même enseigné le contraire. Cela ne veut pas dire que nous ne devions pas prendre position pour présenter la vérité de Dieu. Mais cela signifie que nous ne devons pas employer les moyens du monde pour accomplir la volonté de Dieu de préserver la vie. La violence ne fait que produire la violence, mais l'amour véritable ne manque jamais son but.


  

jeudi 25 janvier 2024

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. 

D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. 

Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.



vendredi 15 décembre 2023

Je déclare la guerre à Noël !

 Noël est sans aucun doute la fête la plus dévoyée qui existe au monde. On est si loin de la naissance d’un enfant dans une crèche ! C’est aussi la fête la plus profane de l’année ! J’en deviendrais presque un ermite,  – humour – pour ne plus avoir à subir les pubs de Noël, le marketing de Noël, les sapins de Noël, les illuminations de Noël et encore moins le fameux Père Noël dont les origines sont plus que troubles ! En effet, ce dernier serait l’enfant  caché que la superstition religieuse – avec le fameux Saint-Nicolas – aurait réussi à avoir dans un accouplement contre-nature avec la publicité et la marque Coca-Cola en particulier !

Noël et tous ceux qui parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un cadeau à leur gamin, finissent par croire qu’ils sont de mauvais parents ! Mais c’est faux !

Noël et ces employés de la Banque de France qui après le 25 décembre constatent chaque année une overdose de dossiers de surendettement !

Noël et son côté glin-glin totalement ringard et proprement insupportable. Tout le monde doit être gentil ce jour-là, on doit jouer le rôle des bons parents même si tout le reste de l’année ce sont disputes sur disputes à la maison ! Il faut s’habiller beau, il faut raconter des histoires incroyables aux gamins ! J’ai commencé à me douter que le père Noël ne passait pas par la cheminée, lorsque nous avons quitté le pavillon où nous habitions avec mes frères pour arriver dans un superbe appartement. Là, pas de cheminée ! Je me suis donc inquiété de savoir…..enfin comment cela allait-il se passer pour les cadeaux quoi ? Pas de réponse ! Mais les cadeaux étaient quand même là ! Bon allez, je n’ai rien dit, mais j’ai reniflé l’arnaque ! Et puis qu’est-ce qu’il fait le père Noël tout le reste de l’année ? Franchement !

Non, je n’aime pas ce Noël que nos supermarchés, hauts lieux de la consommation, temples du dieu Mammon, ont idolâtré au point qu’à lui tout seul Noël est presque devenu une religion !

Voilà pourquoi officiellement je déclare la guerre à Noël et à tous ses alliés connus et souterrains ! Arrêtez d’acheter des cadeaux qui ne servent à rien. Nos enfants ne savent plus quoi faire de cette surabondance de jouets inutiles, leurs chambres à coucher sont devenues des annexes de Toys’R’Us. Nos placards sont remplis de vêtements que nous ne porterons jamais et nous avons même des tas de livres qui nous encombrent parce qu’offerts par des gens qui les ont aimés mais dont nous, nous n’avons absolument rien à faire !

Je ne suis pas nostalgique d’un Noël d’antan, je ne l’ai jamais connu. Je trouve que ce jour-là devrait être un jour comme les autres et puis c’est tout ! Résistons, refusons d’entrer dans un moule et revenons à des valeurs familiales simples.

Samuel Foucart


lundi 4 décembre 2023

L'avenir de la nouvelle génération !

Ceci est un résumé limité des directives officielles émises par l'Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l'intention des autorités éducatives du monde entier.


Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l'acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.


"Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C'est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation."




Commentaire de Pierre :
Tout ces pervers-assassins seront condamnés lors du jugement dernier, puis jetés en enfer où ils souffriront éternellement selon la justice parfaite de DIEU.
Pour plus d'infos, lisez la Bible


lundi 2 octobre 2023

Transgenres !

 

Imaginez un peu la confusion dans la tête d’un enfant qui naîtraient d’un « homme »…

 … et dont le « père », pourrait, par ailleurs, être, en réalité, une femme !

Au nom de l’inclusion, les enfants sont utilisés comme des souris de laboratoire.

 La logique est la même que pour le « droit » à l’avortement : l’enfant est entièrement à la disposition des caprices des adultes qui peuvent en faire ce qu’ils veulent.

Comme vous le savez, la PMA regroupe un ensemble de pratiques cliniques et biologiques où la médecine intervient dans la procréation.

Les plus connues de ces techniques sont l’insémination artificielle qui consiste à placer du sperme dans l’utérus à l’aide d’une sonde…

… et la fécondation in vitro (FIV) où, dans une éprouvette, des ovocytes sont mis en contact avec des spermatozoïdes avant que l’ovule fécondé – devenu embryon - soit transféré dans l’utérus de la mère.

Cependant, vous ignorez peut-être que les pertes sont épouvantables…

Jugez-vous-même :

En 2014, 288 950 embryons ont été conçus dans le cadre des FIV.

62 862 embryons ont été congelés et 77 841 transférés pour donner naissance à seulement 13 473 enfants.

Cette pratique a donc causé la mort de plus de 275 000 enfants à naître, soit davantage que le nombre de victimes annuelles de l’avortement !

Le sort des embryons congelés est sordide puisqu’ils sont utilisés comme cobayes dans des laboratoires …

Durant des décennies, la PMA était réservée aux couples stériles normalement constitués d’un homme et d’une femme.

Vous le savez, depuis 2021, les « couples » de lesbiennes et les femmes seules peuvent aussi réclamer une PMA en ayant recours au sperme d’un donateur inconnu.

Autrement dit, avant même de naître, un enfant peut-être délibérément privé d’un père !

Comme je vous le disais, au fond c’est la même logique que pour l’avortement : l’intérêt du bébé est piétiné.


 Vraiment, on vit dans un monde de fou !

 La possibilité de recourir à une PMA pour les individus transgenres, va encourager des hommes à « transitionner » en femmes et à procéder à une ablation du pénis.

 Ils pourront en effet congeler leurs spermes et demander ensuite à leurs conjointes de procéder à une PMA.

 Le conjoint en question pourra être une femme qui sera reconnue légalement comme étant un homme, bien qu’ayant gardé son utérus.

 Le donneur de sperme sera donc la « mère » et celle qui aura prêté son utérus le « père » !

 

L’autre conséquence de cela, c’est que davantage de femmes qui envisagent de « transitionner » vont prendre de la testostérone, alors qu’elles hésitent à le faire pour le moment car cette hormone affecte leur fertilité.

 En effet, si les « femmes » transgenres, c’est-à-dire des femmes devenues hommes, peuvent recourir à la PMA, cette pratique pourra en quelque sorte rattraper les dégâts causés par la testostérone chez leurs partenaires.

 

Vous voyez, on arrive à des situations monstrueuses et ce sont les plus petits qui vont en faire les frais.

 Droit de naitre




jeudi 22 juin 2023

La mort à la carte

 Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue dans un monde où le sacré n’a plus sa place et où la rentabilité financière est reine. Il est par conséquent inéluctable que les serviteurs de Mammon recourent à des « influenceurs » pour vanter les mérites de l’euthanasie. Des sociétés commerciales nous fourniront le mode d’emploi adapté à toutes les bourses. J’imagine une influenceuse avenante pour m’inciter à choisir la marque  Mourir en beauté qui vous promettra une mort joyeuse et festive. Sa concurrente, la société Sans lendemain, vous garantira une mort certaine, avec obligation de résultat et un service après-vente irréprochable si le résultat escompté n’est pas atteint. 

Nous aurons aussi la société au nom évocateur Mort subite, pour les personnes pressées de quitter ce monde. La compagnie Pour en finir aura pour cibles les nihilistes. L’entreprise Fermez-le rideau visera les artistes. Les agnostiques se dirigeront vers la société Monte là-haut voir si j’y suis. Et enfin, pour les déshérités, une filiale qui s’appellera Mort à crédit, se retournera sur vos ayants droit si vous n’avez pas de quoi régler par avance votre mise à mort. Bien entendu, tout cela se fera dans la dignité des personnes et un respect de l’environnement. Nous aurons une mort écocitoyenne. Voilà un métier d’avenir : influenceur pour l’au-delà, c’est joli n’est-ce-pas ? Souriez, vous allez mourir ! Tout est une question de mot. C’est tout de même plus attrayant que « le thanatophile » ou encore « l’assistant au suicide ».

Les influenceurs seront de deux catégories : il y aura l’influenceur public, soucieux du budget national, qui nous encouragera à faire un geste pour sauver la planète et les finances de l’État. En nous résignant au suicide assisté, ou en prévoyant notre euthanasie, nous serons montrés en exemple puisque nous ne coûterons plus rien à la société. Et il y aura les influenceurs du privé, qui, jamais à cours d’imagination pour attraper le chaland, nous octroieront des réductions si nous parrainons des candidats au suicide. Plus de quarante ans après l’abolition de la peine de mort, un nouveau bourreau moderne est né, au goût du jour, souriant, connecté, solidaire avec une méthode participative car le client suicidaire procèdera à la partie fatale, c’est-à-dire létale, lui-même. Quel progrès !