Rapport
publié dans l’ouvrage de Grégor Puppinck, Droit et prévention de
l’avortement en Europe, fait état de chiffres bien inquiétants :
« 42
% des femmes qui ont avorté souffrent de dépression », « parmi
elles, la moitié des femmes mineures ont des idées suicidaires », 89
% des Françaises reconnaissent que l’avortement laisse des traces
psychologiques difficiles.
Pour celles qui considèrent que l’IVG n’est « ni
un caprice, ni une option mais une nécessité », quel choc si elles
savaient !
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