vendredi 15 décembre 2023

Je déclare la guerre à Noël !

 Noël est sans aucun doute la fête la plus dévoyée qui existe au monde. On est si loin de la naissance d’un enfant dans une crèche ! C’est aussi la fête la plus profane de l’année ! J’en deviendrais presque un ermite,  – humour – pour ne plus avoir à subir les pubs de Noël, le marketing de Noël, les sapins de Noël, les illuminations de Noël et encore moins le fameux Père Noël dont les origines sont plus que troubles ! En effet, ce dernier serait l’enfant  caché que la superstition religieuse – avec le fameux Saint-Nicolas – aurait réussi à avoir dans un accouplement contre-nature avec la publicité et la marque Coca-Cola en particulier !

Noël et tous ceux qui parce qu’ils n’ont pas les moyens d’acheter un cadeau à leur gamin, finissent par croire qu’ils sont de mauvais parents ! Mais c’est faux !

Noël et ces employés de la Banque de France qui après le 25 décembre constatent chaque année une overdose de dossiers de surendettement !

Noël et son côté glin-glin totalement ringard et proprement insupportable. Tout le monde doit être gentil ce jour-là, on doit jouer le rôle des bons parents même si tout le reste de l’année ce sont disputes sur disputes à la maison ! Il faut s’habiller beau, il faut raconter des histoires incroyables aux gamins ! J’ai commencé à me douter que le père Noël ne passait pas par la cheminée, lorsque nous avons quitté le pavillon où nous habitions avec mes frères pour arriver dans un superbe appartement. Là, pas de cheminée ! Je me suis donc inquiété de savoir…..enfin comment cela allait-il se passer pour les cadeaux quoi ? Pas de réponse ! Mais les cadeaux étaient quand même là ! Bon allez, je n’ai rien dit, mais j’ai reniflé l’arnaque ! Et puis qu’est-ce qu’il fait le père Noël tout le reste de l’année ? Franchement !

Non, je n’aime pas ce Noël que nos supermarchés, hauts lieux de la consommation, temples du dieu Mammon, ont idolâtré au point qu’à lui tout seul Noël est presque devenu une religion !

Voilà pourquoi officiellement je déclare la guerre à Noël et à tous ses alliés connus et souterrains ! Arrêtez d’acheter des cadeaux qui ne servent à rien. Nos enfants ne savent plus quoi faire de cette surabondance de jouets inutiles, leurs chambres à coucher sont devenues des annexes de Toys’R’Us. Nos placards sont remplis de vêtements que nous ne porterons jamais et nous avons même des tas de livres qui nous encombrent parce qu’offerts par des gens qui les ont aimés mais dont nous, nous n’avons absolument rien à faire !

Je ne suis pas nostalgique d’un Noël d’antan, je ne l’ai jamais connu. Je trouve que ce jour-là devrait être un jour comme les autres et puis c’est tout ! Résistons, refusons d’entrer dans un moule et revenons à des valeurs familiales simples.

Samuel Foucart


lundi 4 décembre 2023

L'avenir de la nouvelle génération !

Ceci est un résumé limité des directives officielles émises par l'Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l'intention des autorités éducatives du monde entier.


Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l'acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.


"Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C'est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation."




Commentaire de Pierre :
Tout ces pervers-assassins seront condamnés lors du jugement dernier, puis jetés en enfer où ils souffriront éternellement selon la justice parfaite de DIEU.
Pour plus d'infos, lisez la Bible


lundi 2 octobre 2023

Transgenres !

 

Imaginez un peu la confusion dans la tête d’un enfant qui naîtraient d’un « homme »…

 … et dont le « père », pourrait, par ailleurs, être, en réalité, une femme !

Au nom de l’inclusion, les enfants sont utilisés comme des souris de laboratoire.

 La logique est la même que pour le « droit » à l’avortement : l’enfant est entièrement à la disposition des caprices des adultes qui peuvent en faire ce qu’ils veulent.

Comme vous le savez, la PMA regroupe un ensemble de pratiques cliniques et biologiques où la médecine intervient dans la procréation.

Les plus connues de ces techniques sont l’insémination artificielle qui consiste à placer du sperme dans l’utérus à l’aide d’une sonde…

… et la fécondation in vitro (FIV) où, dans une éprouvette, des ovocytes sont mis en contact avec des spermatozoïdes avant que l’ovule fécondé – devenu embryon - soit transféré dans l’utérus de la mère.

Cependant, vous ignorez peut-être que les pertes sont épouvantables…

Jugez-vous-même :

En 2014, 288 950 embryons ont été conçus dans le cadre des FIV.

62 862 embryons ont été congelés et 77 841 transférés pour donner naissance à seulement 13 473 enfants.

Cette pratique a donc causé la mort de plus de 275 000 enfants à naître, soit davantage que le nombre de victimes annuelles de l’avortement !

Le sort des embryons congelés est sordide puisqu’ils sont utilisés comme cobayes dans des laboratoires …

Durant des décennies, la PMA était réservée aux couples stériles normalement constitués d’un homme et d’une femme.

Vous le savez, depuis 2021, les « couples » de lesbiennes et les femmes seules peuvent aussi réclamer une PMA en ayant recours au sperme d’un donateur inconnu.

Autrement dit, avant même de naître, un enfant peut-être délibérément privé d’un père !

Comme je vous le disais, au fond c’est la même logique que pour l’avortement : l’intérêt du bébé est piétiné.


 Vraiment, on vit dans un monde de fou !

 La possibilité de recourir à une PMA pour les individus transgenres, va encourager des hommes à « transitionner » en femmes et à procéder à une ablation du pénis.

 Ils pourront en effet congeler leurs spermes et demander ensuite à leurs conjointes de procéder à une PMA.

 Le conjoint en question pourra être une femme qui sera reconnue légalement comme étant un homme, bien qu’ayant gardé son utérus.

 Le donneur de sperme sera donc la « mère » et celle qui aura prêté son utérus le « père » !

 

L’autre conséquence de cela, c’est que davantage de femmes qui envisagent de « transitionner » vont prendre de la testostérone, alors qu’elles hésitent à le faire pour le moment car cette hormone affecte leur fertilité.

 En effet, si les « femmes » transgenres, c’est-à-dire des femmes devenues hommes, peuvent recourir à la PMA, cette pratique pourra en quelque sorte rattraper les dégâts causés par la testostérone chez leurs partenaires.

 

Vous voyez, on arrive à des situations monstrueuses et ce sont les plus petits qui vont en faire les frais.

 Droit de naitre




jeudi 22 juin 2023

La mort à la carte

 Puisque la mort à la carte est devenue exigible, il est bien naturel qu’un marché macabre se constitue dans un monde où le sacré n’a plus sa place et où la rentabilité financière est reine. Il est par conséquent inéluctable que les serviteurs de Mammon recourent à des « influenceurs » pour vanter les mérites de l’euthanasie. Des sociétés commerciales nous fourniront le mode d’emploi adapté à toutes les bourses. J’imagine une influenceuse avenante pour m’inciter à choisir la marque  Mourir en beauté qui vous promettra une mort joyeuse et festive. Sa concurrente, la société Sans lendemain, vous garantira une mort certaine, avec obligation de résultat et un service après-vente irréprochable si le résultat escompté n’est pas atteint. 

Nous aurons aussi la société au nom évocateur Mort subite, pour les personnes pressées de quitter ce monde. La compagnie Pour en finir aura pour cibles les nihilistes. L’entreprise Fermez-le rideau visera les artistes. Les agnostiques se dirigeront vers la société Monte là-haut voir si j’y suis. Et enfin, pour les déshérités, une filiale qui s’appellera Mort à crédit, se retournera sur vos ayants droit si vous n’avez pas de quoi régler par avance votre mise à mort. Bien entendu, tout cela se fera dans la dignité des personnes et un respect de l’environnement. Nous aurons une mort écocitoyenne. Voilà un métier d’avenir : influenceur pour l’au-delà, c’est joli n’est-ce-pas ? Souriez, vous allez mourir ! Tout est une question de mot. C’est tout de même plus attrayant que « le thanatophile » ou encore « l’assistant au suicide ».

Les influenceurs seront de deux catégories : il y aura l’influenceur public, soucieux du budget national, qui nous encouragera à faire un geste pour sauver la planète et les finances de l’État. En nous résignant au suicide assisté, ou en prévoyant notre euthanasie, nous serons montrés en exemple puisque nous ne coûterons plus rien à la société. Et il y aura les influenceurs du privé, qui, jamais à cours d’imagination pour attraper le chaland, nous octroieront des réductions si nous parrainons des candidats au suicide. Plus de quarante ans après l’abolition de la peine de mort, un nouveau bourreau moderne est né, au goût du jour, souriant, connecté, solidaire avec une méthode participative car le client suicidaire procèdera à la partie fatale, c’est-à-dire létale, lui-même. Quel progrès !





jeudi 1 juin 2023

Dialogue entre 2 bébés

 A ton avis maman existe-telle ?

Dans le ventre d'une femme enceinte se trouvent deux bébés.

Le premier demande à l'autre :

- Crois-tu qu’il y a une vie après la naissance? - Certainement. Quelque chose doit exister après la naissance. Peut-être sommes-nous ici pour nous préparer à ce que nous serons plus tard. - Allons donc, il y aurait une vie après la naissance? Comment serait véritablement cette vie? - Je ne sais pas exactement, mais il y aura certainement plus de lumière qu'ici. Peut-être marcherons-nous avec nos propres pieds et mangerons-nous avec notre bouche. - C'est absurde! 

La marche est impossible. Et manger avec la bouche? C'est totalement ridicule! C'est le cordon ombilical qui nous nourrit. Je te dis une chose : la vie après la naissance n'existe pas. Le cordon est trop court. - En fait, il y a certainement quelque chose. Peut-être est-ce juste un peu différent de ce que nous avons ici. - Mais personne n'est jamais revenu de là-bas, après la naissance. La vie se termine seulement après la naissance. Après tout, notre vie n'est rien de plus qu'une angoisse prolongée dans l'obscurité. - Non, je ne sais pas exactement comment ce sera après la naissance, mais nous allons sûrement voir maman et elle prendra soin de nous. - Maman? 

Tu crois en Maman? Où est-elle censée être? - Où? Tout autour de nous! C'est en elle et à travers elle que nous vivons. Sans elle, tout cela n'existerait pas. - Je ne le crois pas! Je n'ai jamais vu maman, il est donc clair qu'elle n'existe pas. - Oui mais parfois, quand on fait silence en soi-même, on peut l'entendre chanter, parler ou sentir ses caresses. Tu sais, je pense que la vraie vie nous attend seulement après la naissance et nous devons dès maintenant nous préparer pour cette vie-là...

Job 33/4 « L’esprit de Dieu me forme, son souffle me fait vivre ! »

Actes 17/25 « Le souffle du Tout-Puissant me fait vivre, Dieu dit oui à ma vie »

Esaie 44/24 « Le Seigneur t’a formé dès avant ta naissance »

Esaïe 46/3-4 « Je vous ai pris à ma charge dès votre origine »

Esaïe 49/1 « Dès avant ma naissance, le Seigneur m’a appelé »

Jérémie 1/5 « Je te connaissais avant même de t’avoir formé dans le ventre de ta

mère, je t’avais mis à part pour me servir »

Galates 1/15 « Dieu dans sa grâce m’a choisi avant même que je naisse »

Psaume 139/13-16 « C’est toi qui m’as tissé dans le ventre de ma mère… tes

yeux me voyaient... et sur ton livre étaient inscrits les jours qui m'étaient

destinés… »

EC 


mercredi 10 mai 2023

Témoignage d'une infirmière

 Court  témoignage  de  ce  que  j’ai  vécu  étant  toute  jeune  infirmière,  juste  après  la  légalisation  de  l’IVG.  Je  travaillais  alors  dans  un  service  de  maternité  et  c’était  merveilleux  d’assister  à  ces  naissances  !  

Mais  on  m’a  demandé  quelquefois  d’assister  le  médecin  gynécologue  lors  de  ses  matinées  IVG.  Il  pratiquait  les  IVG  par  aspiration  et  je  voyais,  complètement  effarée,  les  fœtus  partir dans le tuyau d’aspiration, démembrés, en  morceaux...  Horrible  !!  

Et  le  pire  a  été  la  raison donnée par un couple qui venait pour une IVG : « Nous n’avons pas assez d’argent pour finir de payer notre maison, on fera des enfants plus tard ».

Cela  m’a  bouleversé  et  j’ai  dit  au  médecin  que   jamais   plus   je   ne   l’aiderai   !   Jusqu’à   aujourd’hui,  je  garde  ces  images  dans  ma  tête.




mardi 4 avril 2023

Les risques de l'avortement

Les chiffres de l'Organisation Mondiale pour la santé sont clairs: 180.000 femmes dans le monde meurent
chaque année des suites d'un avortement légal, soit 1 décès pour 300 avortements. Il est donc prouvé que l'avortement a deux fois plus de risques de tuer la femme qu'un accouchement normal.

Sur le plan médical, la femme multiplie par deux le risque d'un cancer du sein en raison du bouleversement hormonal causé par l'arrêt brutal et prématuré de la grossesse.

Il y a également risque pour les accouchements qui suivent un avortement: la femme peut donner naissance à un enfant mort-né car le sang de la mère aura fabriqué des anticorps.

Enfin, il est prouvé que 50% des stérilités sont consécutives à un ou plusieurs avortements.

Commentaire : 

Les assassins, terroristes, et tueurs en tout genre, qui sont en prison pour un certain temps sont nourrit et logés gratuitement, puis ressortent et peuvent vivre tranquillement jusqu'à la fin de leurs jours.
Par contre des millions de bébés innocents sont sauvagement assassinés dans le ventre de leur mère !!!
Heureusement que DIEU leur fera bientôt justice... 

jeudi 2 mars 2023

« 10 raisons de ne pas se faire avorter »

Pour une information équilibrée sur l’IVG et ses conséquences


Un enfant ne mérite pas de mourir parce que sa mère et/ou son père n’assume pas leurs responsabilités. Un enfant est complètement innocent.

Voici 10 bonnes raisons de ne pas se faire avorter:

1) L’avortement aggrave la tragédie

La réponse à une tragédie ne peut pas être une autre tragédie. Parfois, les circonstances entourant une grossesse sont tragiques. Peut-être la femme a-t-elle été violée. Peut-être le bébé a-t-il été diagnostiqué avec un handicap. Ou la santé de la femme pourrait être en danger. Toutefois, la réponse à une tragédie ne peut pas être une autre tragédie. On n’efface pas un viol en tuant un enfant. On ne guérit pas un bébé en le tuant. Et on n’évite pas les problèmes de santé en refusant la réalité d’un autre être humain.

Les femmes qui ont été violées doivent être entourées avec beaucoup de compassion. Mais exécuter l’enfant d’une femme n’est pas de la compassion. Face à un diagnostic prénatal difficile, les parents doivent obtenir des informations factuelles et être orientés vers d’autres susceptibles de partager utilement leur expérience. Ils ne doivent pas être contraints à un choix rapide d’avortement ou priés de tuer leur enfant au lieu de lui donner une chance de défier les pronostics. Les femmes ayant des grossesses à risque doivent être traitées par de vrais professionnels de santé. Mais le traitement n’inclut pas de tuer intentionnellement un enfant. (Si un enfant décède au cours du traitement de la femme -lors de la chimiothérapie pour le cancer, de la suppression d’une grossesse extra-utérine…. – ce n’est pas un avortement.)

2) L’avortement tue des innocents

La science ne pourrait pas être plus claire. Les êtres humains in utero sont vivants, distincts, et uniques. Dès le moment de la fécondation – plus connue sous le nom de conception – une nouvelle vie humaine commence. Mettre fin à cette vie ne finit pas une « potentialité. » cela termine une vie. Nous ferions bien de comprendre la science moderne qui révèle l’humanité de l’enfant à naître.

3) L’avortement viole les droits civils

Les droits civils sont violés quand les gens sont privés de leurs droits fondamentaux de manière discriminatoire. Les enfants à naître sont privés de la vie – le droit le plus fondamental de tous – sur la simple base de leur position géographique (l’utérus de leur mère) et de leur niveau de développement. C’est discriminatoire, inhumain et cruel.

4) L’avortement punit des innocents

Un enfant ne mérite pas de mourir pour les crimes de son père. Un enfant de cinq ans ne peut pas être tué parce que son père est un violeur. On ne devrait pas pouvoir tuer un enfant à naître de 5 mois pour la même raison.

Un enfant ne mérite pas de mourir parce que sa mère et/ou son père n’assume pas leurs responsabilités. Un enfant est complètement innocent. Un enfant n’a pas décidé que ses parents feraient l’amour ou qu’ils utiliseraient une contraception inefficace. Un enfant à naître est toujours innocent et ne devrait jamais être puni.

5) L’avortement peut blesser les femmes

Des histoires vécues démontrent encore et encore que l’avortement nuit aux femmes. Ces blessures surviennent sous diverses formes – mentales, psychologiques, relationnelles et physiques – et dans certains cas, l’avortement coûte leur vie aux femmes. Elles peuvent également subir la perte de leur fertilité ou une augmentation des fausses couches après un avortement.

6) L’avortement abime les relations et les familles

L’avortement n’est jamais la réponse à une relation fructueuse et aimante. Chaque fois qu’un membre de la famille meurt, le reste de la famille est touchée. Et cela est vrai de l’avortement. Un enfant réel, vivant, irremplaçable a été tué, et les parents et les frères et sœurs sont altérés. Beaucoup de femmes qui avortent juste pour convaincre leurs mecs de rester avec elles constatent qu’ils les quittent de toute façon, peu de temps après l’avortement. L’avortement n’est jamais la réponse à une relation fructueuse et aimante.

7) Les conséquences de l’avortement ne s’effacent pas

Peu importe combien nous essayons, nous ne pourrons jamais effacer ce que l’avortement fait. L’avortement tue un être humain innocent. Le temps n’efface pas ce meurtre ni ne soulage la réalité de ce qu’il est. L’avortement est une tragédie cruelle, mais c’est aussi un choix qui ne devrait jamais être fait. Un tel choix reste avec nous pour toujours.

Pour ceux qui ont déjà pris part à un avortement, même s’il n’existe aucun moyen de changer votre passé, il ya un moyen d’en guérir. Recherchez auprès de votre centre local de ressources pour la grossesse les programmes de rétablissement post-avortement.

8) L’avortement crée de nouveaux problèmes

On ne résout pas ses problèmes en tuant une personne innocente. Certaines personnes croient qu’avorter et supprimer la vie d’un enfant résoudra leurs problèmes. Et dans l’immédiat, il peut sembler que les problèmes aient été effacés. Peut-être les études deviennent-elles une option plus facile, peut-être les parents ne découvrent-ils jamais que leur fille était enceinte, ou peut-être une liaison reste dissimulée. Mais en réalité, l’avortement ne fait que cacher les problèmes – il ne les résout pas. Beaucoup de femmes terminent le collège tout en donnant naissance à leurs bébés. Beaucoup de parents sont beaucoup plus compréhensifs et aimants que leurs filles ne le croyaient possible. Et la vérité vaut toujours mieux qu’un mensonge, surtout quand un mensonge coûte la vie à une personne innocente. En fin de compte, voici ce qu’il en est vraiment : on ne résout pas ses problèmes en tuant une personne innocente. Ce n’est pas parce que c’est légal que c’est juste. Et le fait que ce choix reste souvent secret ne signifie pas qu’il ne restera pas avec vous pour toujours.

Les parents subissent souvent beaucoup de pression sans qu’on leur dise le grand cadeau qui leur est fait…

9) L’avortement occulte la responsabilité

L’avortement est parfois utilisé comme le camouflage facile d’une aventure d’un soir, ou une solution à une relation qui a mal tourné. Toutefois, lorsque deux adultes font le choix de participer à une activité connue pour créer des bébés, ces adultes doivent en accepter la responsabilité. La contraception peut échouer. La meilleure planification peut s’écrouler. Mais la responsabilité ne doit pas être évitée au prix de la vie d’un enfant innocent.

Les personnes responsables doivent parfois faire des choix difficiles. Le timing peut sembler mauvais, et les circonstances difficiles. Mais cela ne justifie pas de tuer une personne innocente. Choisir d’élever un enfant est responsable. Choisir l’adoption pour un enfant est responsable. Mais choisir l’avortement et dénier la vie à un enfant qui existe déjà est irresponsable – et irrémédiablement – mal.

10) L’avortement n’est pas un signe d’émancipation ou de libération pour les femmes

Ce n’est pas mon «droit» de tuer mon enfant. En tant que femme qui se considère comme une féministe, je trouve consternant que l’avortement soit classé dans le cadre des « droits des femmes. » Ce n’est pas mon «droit» de tuer mon enfant. Je ne devrais pas être la seule personne qui a le pouvoir d’ordonner l’exécution de mon enfant de la main d’un médecin avorteur. Laisser mon enfant souffrir d’une mort durant laquelle sa colonne vertébrale est aspirée dans un tube, où ses membres sont déchiquetés, où son cœur est arrêté par le poison, cela n’émancipe pas, ne libère pas. Ces choix ne devraient pas être des choix du tout. Ils sont des tragédies cruelles pour tous les intéressés, et ils ne devraient pas être autorisés dans une nation civilisée. Les femmes ne reçoivent pas la liberté par le sang de leurs enfants.

Toutes les femmes devraient comprendre exactement ce qu’est l’avortement.

Source : Campagne Québec Vie

 



mercredi 1 février 2023

L’équation démoniaque

Alors que l’humanité de la vie dans l’utérus est indéniable, beaucoup essaient de
justifier l’avortement en s’appuyant sur les facteurs favorisant.

Sans aucun doute, des réalités brutales et des décisions difficiles coulent à la fois de l’amont et vers l’aval par rapport à l’avortement. Il y a une multitude de facteurs déchirants qui peuvent motiver une mère à ôter la vie à son enfant (une grossesse non prévue, la découverte d’un handicap, le viol, l’inceste, la pauvreté maternelle). Des milliers de problèmes émergent quand une mère choisit de ne pas assassiner son enfant (les mêmes exemples peuvent présenter d’intenses difficultés à la fois aux mères et aux pères). Ignorer ou envisager ces facteurs de façon simpliste est à la fois naïf et dénué d’amour. Les chrétiens doivent réfléchir profondément, agir de façon intentionnelle, et aimer de manière désintéressée pour prévenir et alléger ces souffrances.

Cependant, ni les causes d’amont ni les conséquences d’aval ne devraient nous amener à tuer notre enfant au milieu de la rivière. Peu importe à quel point l’algèbre morale est compliquée, nous devons rejeter toute équation qui donne « tuer votre enfant » comme réponse. Nous devons réfuter et dénoncer clairement toutes ces équations démoniaques. Peu importe à quel point l’équation semble convaincante, « X » ne doit jamais être égal à « tuer votre bébé ».

La somme totale de Christ

Seul le père du mensonge peut présenter le meurtre de son enfant comme la réponse appropriée à un viol, à la pauvreté, à la trisomie 21, ou à des malformations crâniennes. Seul un serpent haïssant Dieu présenterait la destruction d’un porteur de l’image de Dieu comme une réponse appropriée à la violation d’un autre porteur de l’image de Dieu. Le mensonge au centre de l’avortement est le mensonge du serpent dans le jardin : que les commandements de Dieu ne sont pas faits pour notre joie. Croyant ce mensonge, nous essayons de façon pragmatique de reconstruire le monde selon nos propres termes idolâtres.

En face de tout ce mensonge se tient un Christ glorifié et la promesse de la vie éternelle.

Dans la personne de Jésus crucifié et ressuscité, nous avons un futur exempt de tout résultat incertain. Il est notre principale cause d’amont et notre ultime récompense d’aval. Il est la source de la rivière et sa glorieuse destination finale. Oui, sous la malédiction du péché, toutes les rivières de la vie sont polluées. Cependant, seule la rivière chrétienne se déverse à la fin dans un océan limpide de vie éternelle et de vraie joie.

La vraie joie ne se trouve pas dans le risque calculé ; elle se trouve dans un futur promis. La joie qui dure ne se trouve pas dans l’optimisation pragmatique ; elle se trouve dans la glorification promise. La joie chrétienne ne se trouve pas dans la somme totale des choses agréables de la vie ; elle se trouve dans la somme totale de Christ.

Chérir l’image pour toujours

Ma femme et moi, nous avons choisi la vie, et notre fille est morte. La mère de Josiah a choisi la mort, et il a survécu. Aucune de ces conséquences d’aval n’a d’incidence sur le bien-fondé ou l’immoralité de l’avortement. Nous n’avons pas l’autorité de défaire ce que Dieu a façonné dans l’utérus.

Notre rôle n’est pas de défigurer les porteurs d’image. Au contraire, notre rôle est de les protéger. Et, en Christ, l’image parfaite de Dieu, nous pouvons chérir cette image pour toujours.


mercredi 11 janvier 2023

L'IVG en Hongrie

 En Hongrie, les femmes qui souhaitent avoir recours à l’IVG devront d’abord écouter le cœur du fœtus

Selon un amendement publié lundi, les femmes enceintes souhaitant avorter en Hongrie devront désormais écouter les battements cardiaques de leur foetus avant d’interrompre leur grossesse.

Lundi 12 septembre, la Hongrie a publié un amendement au Journal officiel qui stipule qu’avant d’interrompre une grossesse, les femmes devront présenter un rapport délivré par un obstétricien-gynécologue qui prouve qu’elles ont entendu les battements cardiaques du foetus. Le décret, signé par le ministre de l’Intérieur Sandor Pinter, entrera en vigueur ce jeudi.

D’après le site web d’information hongrois, Index, « le facteur indiquant le fonctionnement des fonctions vitales du fœtus, c’est-à-dire l’écoute du rythme cardiaque avant un avortement, est depuis longtemps un sujet de la vie publique hongroise ».

Ce nouvel amendement ne représente pas un durcissement de la loi, mais simplement une information sur « l’enjeu réel » de cette décision.

En Hongrie, il n’est possible d’avoir recours à l’avortement que dans le cas où la grossesse est le résultat de violences sexuelles ou est dangereuse pour la santé de la femme enceinte, lorsque le fœtus est susceptible de souffrir d’un handicap ou d’une déficience grave ou alors que la femme enceinte est dans une situation de crise.

L’association hongroise de défense des droits des femmes Patent dénonce une décision « insensée » qui a pour but d’humilier « les femmes qui avortent ».

Camille Westphal Perrier


Commentaire de Pierre : 

J'espère qu'ils ne s'arrêteront pas là, et qu' ils ne se laisseront pas intimider par les autres européens. 

J'espère qu'ils tiendront bon, malgré les punitions financières !