jeudi 12 novembre 2015

Bébé "parle" avec sa mère !

Saviez-vous qu’un bébé « parle » avec sa maman bien avant sa naissance ?


Une preuve très solide permettant d’affirmer qu’un embryon n’est pas qu'un groupe de cellules, mais bien un être vivant à part entière.
 
Le « statut biologique de l’embryon humain », est un thème fondamental de la bioéthique car démontrer que l’embryon humain est un être biologique de notre espèce, et non un ensemble informe de cellules, est essentiel pour affirmer que toute technique qui implique sa destruction est inacceptable sur le plan bioéthique (comme la destruction d’embryons surnuméraires en cas de fécondation in vitro, ndlr).

Un argument utilisé pour défendre cette thèse est ce qu’on appelle le « dialogue entre l’embryon et sa mère », c’est-à-dire la communication qui s’établit avec l’embryon depuis son transit par la trompe de Fallope jusqu’au moment où il s’implante dans l’utérus maternel.

Le fait que l’embryon humain puisse établir ce dialogue biologique avec l’endomètre utérin, c’est-à-dire avec sa mère, est une preuve très solide permettant d’affirmer que dès le début de son développement, l’embryon n’est pas un amas de cellules mais un être vivant appartenant à notre espèce.

En quoi consiste ce « dialogue materno-fœtal » ?

Depuis son transit par la trompe de Fallope jusqu’à son implantation dans l’endomètre maternel, l’embryon produit et secrète une série de composés biochimiques qui agissent sur l’endomètre pour faciliter son implantation ; c’est comme si l’embryon prévenait sa mère de son arrivée sur le lieu d’implantation dans son utérus afin qu’elle se prépare, c’est-à-dire qu’elle prépare l’endroit où son enfant va s’implanter.

Mais à son tour, l’endomètre maternel produit et secrète d’autres composés dans le fluide endométrial dans lesquels baigne l’embryon et qui sont essentiels à sa nidification.

Un autre fait biologique intervient dans ce dialogue materno-fœtal qui renforce la nature d’être vivant organisé du tout jeune embryon, la diminution de l’activité immunologique de la mère qui facilite l’implantation de son enfant.
En effet, l’embryon est un être biologique étranger à la mère, puisque la moitié de son contenu génomique provient du père, ce qui fait qu’il pourrait être rejeté… mais pour l’éviter, la mère réduit son activité immunologique afin de faciliter l’implantation de son enfant (immunité materno-foetale).

Mais tout récemment, un article publié dans Development (142; 3210-3221, 2015) a rapporté la preuve que les éléments inclus dans le fluide secrété par l’endomètre maternel où s’implante l’enfant pendant le processus de nidification, peuvent modifier l’expression génétique de l’enfant.

Ceci a d’importantes conséquences biomédicales et bioéthiques. Du point de vue biomédical, cet échange génétique pourrait augmenter le risque pour l’enfant de souffrir de plusieurs maladies comme le diabète de type deux, ou augmenter le risque de souffrir de certaines maladies comme l’obésité.

Mais cet échange entre la mère et l’enfant pourrait également exister dans la fécondation in vitro qui utilise des dons d’ovules, c’est-à-dire n’appartenant pas à la mère, ou lorsque l’on a recours à ce que l’on appelle les « mères porteuses ». Dans le premier cas, l’expression génétique du génome de l’enfant peut être modifiée par l’afflux de messages maternels. C’est-à-dire que les informations provenant de l’endomètre maternel sont incorporées dans le génome de l’enfant, ce qui fait que d’une certaine façon et de manière très partielle, l’embryon est génétiquement modifié par l’influence de la mère biologique.

Mais par ailleurs, dans le cas des mères porteuses, celles-ci pourraient également influer sur le génome de l’enfant, c’est-à-dire que des liens biologiques pourraient s’établir avec l’enfant en gestation allant bien au-delà de ce que favorise la grossesse, en particulier parce que la modification par la mère du génome de son enfant permettrait de manière substantielle de tisser sa relation, ce qui sans aucun doute pourrait créer davantage de problèmes biologiques et sociologiques que ceux qu’impliquent ces pratiques à l’heure actuelle.

Justo Aznar et Julio Tudela



mercredi 7 octobre 2015

Témoignage de Carole

J’ai mis longtemps à me pardonner cet avortement

Carole, 40 ans

Ce témoignage est le premier que je livre au monde extérieur, à moi-même et restera probablement le seul de mon expérience de l'IVG. A 21 ans, tout juste un an après avoir quitté dans des circonstances tumultueuses le domicile de mes parents, je suis "tombée" enceinte. Je vivais alors aux dépens de mon compagnon, qui avait lui-même renoncé à ses études pour subvenir à mes besoins.

Lorsque j'ai su que j'étais enceinte, je crois que je me suis attachée à ce bébé. Ou bien était-ce à l'idée de devenir maman et donc de changer de statut ? Aujourd'hui encore, je me pose la question. Mais à l'époque, je ne trouvais pas ma place, je ne savais pas qui j'étais... J'ai laissé mon compagnon, qui ne voulait pas de cet enfant alors, décider à ma place. Je me sens aujourd'hui encore lâche et coupable de ce manque de franchise envers moi-même.

J'ai caché mon début de grossesse à ma belle-famille, chez qui je vivais alors. Je me suis présentée seule au rendez-vous à l'hôpital. C'était la première fois que je rencontrais une gynécologue, la sexualité était un sujet loin des priorités de mes parents. Ce premier entretien ne m'a offert aucun conseil. Elle m'a exposé le choix devant lequel je me trouvais alors que j'aurais voulu lui dire ce que j’éprouvais. Mais elle m'a laissée seule avec mon désarroi. Je ressens encore cette solitude qui, pendant longtemps, a pesé sur notre couple et nous a éloignés l’un de l’autre.

Ce n'est pas le bébé de Carole qui est sur cette photo.

Après ce rendez-vous, j'ai dû aller faire une échographie dans un cabinet privé. Je n'avais pas d'amies ni de famille vers qui me tourner, alors je me suis là encore débrouillée toute seule. Moi qui n'avais pas entendu parler de sexualité, de grossesse, de choix même, j'ai dû subir une échographie par voie vaginale, me faire toucher, sentir des mains étrangères sur mon corps. J’ai serré les dents.

J'ai appris que j’étais enceinte de 9 semaines, que je n’avais que peu de temps pour réfléchir. J’ai dû écouter le médecin qui n’était pas informé que je souhaitais avorter me décrire l'embryon. J’ai dû le regarder sourire et tenter de me convaincre que ce moment était merveilleux, comme il l'est pour beaucoup de femmes. Je me suis retrouvée complètement désemparée, honteuse, sale et effroyablement seule face à ce qui m'arrivait.

Une semaine plus tard, je me suis présentée à l'hôpital pour une IVG par aspiration, avec anesthésie générale. Je ne me souviens que de mon passage en salle de réveil, les infirmières ont dû me secouer pour me faire émerger. Il me reste de cet épisode des paroles dures, des tons de voix peu délicats. Des regards et des attitudes en disent souvent plus sur ce que nous pensons que les mots que nous sommes autorisés à employer dans le cadre de notre emploi. Je me souviens de mon cœur qui se mettait à battre très fort et de mon estomac qui se nouait de peur.

Le soir, mon compagnon était à mes côtés pour me raccompagner après sa journée de travail. J'ai souri, fait bonne figure, caché mes blessures et suis vite partie, sans jamais parler de cet épisode de ma vie à qui que ce soit. J'ai conserve l'échographie, mais les cicatrices de cette expérience sont ancrées au plus profond de mon âme. J'ai mis longtemps à me pardonner, à pardonner à mon compagnon et à regretter cette IVG. Je n'étais pas mature à 21 ans, je n'étais qu'une enfant qui aurait eu besoin qu'on lui tienne encore la main.

Notre petit garçon est né 10 ans après ma première grossesse. Celle-ci fait partie de mon histoire : elle a modelé la personne que je suis aujourd'hui et le couple que nous formons avec mon compagnon. Je n'en suis pas fière mais je ne la porte plus comme un fardeau. Il m'aura fallu des années et bien de la peine pour en arriver là. Je suis convaincue qu'une assistance psychologique m'aurait permis de me libérer plus tôt et d’utiliser mon énergie à vivre ma jeunesse dans la joie et non la douleur.

mercredi 19 août 2015

Contraception naturelle

Je pratique la symptothermie. J'ai appris à gérer ma fertilité

Par Valentina Salonna

La symptothermie, contraception "naturelle" basée sur l'auto-observation des signes corporels et de la température, est, pour certaines femmes, une alternative à la pilule. Comment fonctionne cette méthode ? Est-elle risquée ?

Réponse de Valentina Salonna, chercheur en Sciences de la Vie, conseillère en fertilité et sexo-thérapeute, adepte de la symptothermie.

La symptothermie est basée sur l'auto-observation des signes corporels et de la température (27319/ISOPIX/SIPA).

Depuis le droit de vote obtenu en France en 1944, quel chemin parcouru par les femmes ! La légalisation de la pilule, en 1967, fait notamment figure de pierre angulaire pour l'émancipation féminine.

Aujourd’hui, nous pouvons profiter de l’incommensurable percée que la pilule nous a offert et pour cette raison, je la respecte profondément. Néanmoins, la femme d’aujourd’hui a comme alliée la symptothermie, pour franchir une autre étape : la gestion de sa fertilité dans la connaissance de son corps et de son cycle.

Une fiabilité reconnue par les études scientifiques

La symptothermie, contraception douce basée sur l'auto-observation des signes corporels et de la température, affiche, grâce à un "double contrôle" inédit dans l'histoire des méthodes naturelles, une sécurité équivalente à celle de la pilule : plus de 99%, en théorie.

En matière de contraception, il faut tenir compte de la pratique réelle : 8% des femmes prenant la pilule tomberont enceintes dans l'année, souvent à cause d'un oubli. Un taux d'échec identique dans la symptothermie, par manque de rigueur dans l'auto-observation.

À sécurité contraceptive égale, le rapport bénéfices-risques pencherait plutôt en faveur de la symptothermie, naturellement sans effets secondaires, mais peu de femmes choisissent cette contraception. Principalement, selon moi, par déficit d'information sur sa fiabilité, mais aussi, pour celles qui la connaissent, par manque de confiance en elles et en leur corps.

Certaines femmes n'ont pas envie de s'encombrer avec l'auto-observation ou la prise des températures pendant 10 à 15 jours dans leur cycle. C'est un choix tout à fait respectable. Mais il est temps de valoriser la symptothermie au grand jour.

Elle a été correctement formalisée depuis 50 ans et constamment améliorée. Les études scientifiques continuent de lui reconnaître sa fiabilité. Les femmes disposent maintenant d'une alternative écologique. Et c'est bien cette liberté de choix qu'il importe de leur communiquer.

J'ai dû intégrer la connaissance du cycle de fertilité


Je pratique la symptothermie (ST pour les intimes) depuis maintenant douze ans. J’ai été élevée dans le yoga, dans une culture bio. C'est pourquoi je n’ai jamais pris d’hormones de synthèse.

Au début, il m'a fallu intégrer la connaissance du cycle de fertilité, apprendre à distinguer les signaux corporels. Mais au bout de quelques mois, l'auto-observation requise par la symptothermie est devenue un automatisme. Comme se laver les dents matin et soir...

Je dirais donc que je ne ressens plus aucune contrainte pour gérer ma fertilité avec cette méthode. J'assume simplement "les devoirs" d'un comportement responsable et autonome.

Grâce à mes années de pratique, je peux maintenant me passer de la prise de température. Sauf pendant les voyages, lorsque mon corps subit le stress du décalage horaire et d'un changement d'environnement.

Pour effectuer le double contrôle indispensable à ma sécurité contraceptive, je me fonde sur l'observation quotidienne de mon élixir de vie (la glaire cervicale) et sur l'autopalpation du col de l'utérus (autre contrôle possible avec la température). Ces observations sont nécessaires pendant toute la période fertile pré-ovulatoire, pendant l'ovulation, mais aussi pendant les trois jours qui suivent le "jour sommet".

Cette attention particulière me confirme la modification de la glaire et la fermeture du col. Je peux ensuite profiter d'une phase 100% infertile en toute confiance. Je ne reprends mes observations qu'à l'entrée de la nouvelle phase fertile, qui s'ouvre à la fin des prochaines menstruations.

Apprendre à s'aimer dans sa féminité cyclique

Si elle a un temps libéré la femme (et le couple), le revers de la pilule est que madame se retrouve toujours "hormono-disponible" pour monsieur, si je puis dire, sans être pleinement connectée aux fluctuations de sa libido, qui dépend beaucoup de son cycle hormonal.

Par ailleurs, beaucoup de femmes souffrent d'un problème de désir ou de sécheresse vaginale à cause des contraceptifs hormonaux. Ces effets secondaires peuvent parfois plomber la vie du couple. La symptothermie propose une nouvelle émancipation : s'aimer dans sa féminité cyclique, partager les variations de son désir en confiance avec soi-même et avec le partenaire, redonner au couple la totale autonomie de la gestion de la fertilité.

Quand on passe le permis de conduire, on a besoin au départ d’un moniteur pour bien manœuvrer. En quatre ans, j’ai instruit une centaine de femmes. Cet apprentissage nécessite quelques mois, mais c'est une connaissance qu'elles gardent toute leur vie, également utile pendant l'allaitement ou la pré-ménopause.
 

vendredi 10 juillet 2015

Infanticides néonataux

 Infanticides néonataux : le rapport de la honte

   
Un rapport accablant de l’ECLJ (European Centre for Law and Justice) sur « l’avortement tardif et les infanticides néonataux en Europe » a été publié, en soutien de la pétition qui sera présentée au Bureau de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Plus de 210 000 Européens ont signé la pétition contre les infanticides réalisés sur des bébés nés vivants lors d’IVG et d’IMG tardifs. Dans un rapport saisissant, l’ECJL présente une somme de témoignages glaçants de médecins, de sages-femmes et d’infirmières, qui ont rencontré ce type de pratiques. Injections létales, étouffements, abandons…
Tout est mis en œuvre pour que ces tout-petits – nés vivants au-delà de vingt semaines – s’éteignent rapidement, dans la plus grande indifférence, sans aucune prise en compte de leur souffrance. Comble de l’horreur, « le plus souvent, les parents ne sont pas informés de la survie de leur enfant et des causes réelles de sa mort », révèle ainsi le rapport.

Le sujet est tabou, mais les équipes médicales et paramédicales expliquent que ces pratiques existent depuis de nombreuses années. Mme L. M., ancienne infirmière anesthésiste, rapporte ainsi qu’en 1987, une équipe a laissé un bébé « mourir de froid ». En 1963 déjà, Mme M. J., alors étudiante infirmière, a récupéré un nourrisson encore vivant dans un drap roulé en boule. Avec pour seule consigne de « le mettre dans un haricot [une cuvette, N.D.L.R.] et d’attendre ». « Nous étions là pour le regarder, ce petit être vivant, lui parler et caresser son petit corps pendant 45 minutes. […] Il s’est finalement arrêté de respirer et nous l’avons laissé sur le plateau. »

Selon une étude menée en 2000 (« End-of-life decisions in neonatal intensive care : physicians’ self-reported practices in seven European countries »), 73 % des médecins français en néonatologie déclareraient qu’ils ont dans leur carrière administré aux nouveau-nés des produits médicamenteux pour les tuer. Une proportion effarante, qui rejoint le témoignage de M. X. B., médecin. Alors qu’il était externe, ce dernier raconte avoir entendu le chef de service de génétique du CHU entrer « dans une sorte de fureur, en demandant combien de fois il devrait dire qu’il ne fallait pas faire de fœticide in utero, mais tuer le bébé après qu’il soit né ».

Le terme de « malaise » est récurrent tout au long des témoignages. Preuve, s’il en fallait, que ce sujet tabou est profondément incompatible avec la mission du soignant. Les proportions de bébés concernés sont extrêmement difficiles à recueillir, dans la mesure où un enfant né vivant « accidentellement » n’est pas inscrit sur le livret de famille.

Cependant, une étude publiée au Royaume-Uni en 2007, dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology, a conclu qu’environ un avortement sur trente au-delà de seize semaines de gestation donne lieu à la naissance d’un enfant vivant. À vingt-trois semaines, le taux d’enfants vivants atteint 9,7 %. Selon une sage-femme suédoise, la proportion atteindrait même 25 %.

  Source: famillechretienne.fr

Commentaire de Pierre DANIS :

La vie est sacrée et appartient à DIEU, notre Créateur. L'avortement est un crime abominable !


samedi 25 avril 2015

Un vote sur l'avortement !!!

Comment peut-on accepter de mettre aux voix la vie humaine ?

Il n’y a qu’une façon de le faire : en trompant le peuple par un mensonge, en lui faisant croire que l’avortement ne tue personne et que celui qui ose émettre des doutes menace la République. C’est ce que l’historien Pierre Chaunu appelait « le mensonge qui tue ». Perpétré depuis quarante ans, ce mensonge tache la démocratie en apportant la preuve que le risque existe toujours de faire voter le pire. On rétorquera que, selon les sondages, une écrasante majorité de citoyens est favorable à l’avortement. Il faudrait voir …

Décadence morale...

L’Etat en fait une promotion éhontée, la Sécurité sociale assimile l’enfant avorté à une maladie guérie, les médecins sont traduits devant le conseil de l’ordre s’ils ont le malheur de suggérer qu’une femme peut garder son enfant, les associations pro-life font l’objet d’une chasse aux sorcières et les autorités morales sont tétanisées à l’idée de prendre la parole publiquement sur le sujet.

La démocratie est aussi rongée de l’intérieur par le mécanisme des « illégalités fécondes ». Le juge amorce le mouvement en ne punissant plus certaines infractions et une spirale libertaire s’enclenche. A l’image de l’avortement, l’interdit devient une tolérance, puis une exception légalisée, puis un droit commun, puis un droit fondamental, puis une obligation. Rappelons l’oukase du CSA enjoignant aux chaînes TV de ne pas passer une vidéo donnant la parole à des jeunes trisomiques pour ne pas culpabiliser les femmes ayant avorté. Le droit à l’avortement est supérieur à la liberté d’expression de ses rescapés !

Citons aussi ce qui s’est passé pour la recherche scientifique qui utilise et détruit des embryons humains. En quelques années, ce qui était considéré comme une horreur est devenue un droit pour les chercheurs. L’exception devient la règle. Il devient impossible de défendre les embryons humains qui sont moins bien protégés que les animaux ou que certaines espèces végétales. Et le dire conduit à être censuré par un gouvernement des juges.

C’est ce qui ne manquera pas d’arriver avec l’euthanasie. Puisque de nombreux médecins délivrent déjà la mort par compassion et ne sont plus punis depuis longtemps, alors légalisons l’euthanasie. Il deviendra peu à peu interdit de s’y opposer, voire de s’y soustraire.

  Source: valeursactuelles.com

mardi 24 février 2015

Avortement tardif

Chaque année en Europe, de nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements tardifs. Ces enfants sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures, ou tués par injection létale ou asphyxie, puis jetés avec les déchets biologiques.




jeudi 15 janvier 2015

Les attentats de janvier 2015 à Paris

C'est terrible, ce qui s'est passé, et je suis stupéfait par la réaction qui a suivie, beaucoup de médias en parlent en s'identifiant aux victimes, surtout des dessinateurs blasphémateurs.

Les 4 victimes juives, on en parle moins...

Et il y a les millions de victimes atrocement assassinées chaque année dont on ne parle jamais, elles n'ont rien dit ni rien fait...Je parle des victimes de l'avortement, des bébés à qui on écrase la tète et on arrache les membres, avant de les aspirer comme de la saleté.

Qui s'en préoccupe ? Qui fait une manif pour eux ?

Je sais bien que ce message n'est pas du tout "correct" selon les critères de ce monde, mais un jour, tout ces criminels de l'avortement seront jugés par DIEU avec une sévérité inouïe.

DIEU est très très patient, mais sa patience a des limites, Il fait encore grâce aujourd'hui si quelqu'un se repent et change de conduite, et Il donne la Vie éternelle à quiconque se confie en Jésus Christ le seul sauveur.

Pierre Danis