jeudi 13 décembre 2018

Ils choisissent de donner naissance à leur bébé


Écrit par  CPDH-Publication

Alix et Fabien attendent leur deuxième enfant. Mais lors de la deuxième échographie de contrôle, on leur annonce que le fœtus est anencéphale.

Alors que le gouvernement de François Hollande a supprimé le délai de réflexion obligatoire avant un avortement et qu'il cherche à empêcher les sites Internet d'écoute et de conseil pour les femmes enceintes, l’European centre for Law and Justice (ECLJ) a souhaité montrer à travers ce témoignage l’indispensable besoin de réflexion, d'écoute et de conseil.

Comme ces parents le racontent, apprendre que l'enfant que l'on attend souffre d'un grave handicap est un choc. Ils ont eu besoin de se voir réexpliquer le diagnostic, d’apaiser le stress de l'annonce et surtout d'être accompagnés par une équipe médicale à l'écoute.

Que ce soit pour une grossesse non désirée ou quand une malformation est découverte au bébé, leur témoignage souligne la difficulté de la situation. Malgré le désir de garder leur enfant, l'incompréhension de certains professionnels médicaux fut pour eux une épreuve.

C'est avant tout un témoignage d’humanité : l'expérience partagée par ce couple est susceptible d'aider d'autres femmes et d'autres couples dans une situation semblable.

  Source: genethique.org


Commentaire de Pierre Danis :

Que DIEU bénisse ces courageux parents qui ont refusés de mettre à mort leur bébé.
 

vendredi 9 novembre 2018

Vente des organes de fœtus


Vente des organes de fœtus : de la fiction à la réalité

1. Le fœtus et l'embryon sont des êtres humains

Ceux qui défendent le droit à l’avortement articulent leur argumentation sur le choix de la mère et son droit de décider de ce qu’elle fait de son corps et sur le fait que, selon eux, l'enfant n’est qu’un embryon, pas encore un être humain à part entière (avant 12 semaines en droit français, l’enfant est considéré comme embryon et comme un bien meuble avant sa naissance). Concernant le premier point, la formulation est mensongère : on ne parle pas du corps de la mère, mais bien du corps de l’enfant. Même si durant la grossesse la mère et l’enfant sont liés d’une manière certaine, ils sont deux êtres distincts. Pour le second point, la Bible est claire : l’embryon et le fœtus sont déjà des êtres humains à part entière aux yeux de Dieu. Les paroles de David le rappellent (Ps 139.13-16; Ps 22.10-11), ainsi que celles de Jérémie (Jé 1.5). Ajoutons aussi la merveilleuse confession d’Élisabeth qui reconnaît que l’enfant que porte Marie est le Seigneur (Lc 1.42-44) quand l’enfant a tressailli en son sein. 

2. L’avortement est un meurtre. 


Si on admet que l'enfant n’est qu’un embryon et non un être humain, on ne parle pas de meurtre (selon le droit français). Mais si, comme la Bible le déclare, le fœtus ou l’embryon sont  des êtres humains, alors l’avortement est un meurtre, même si le corps de la victime est caché au moment du crime. La loi mosaïque prévoyait de tuer celui qui aurait causé la mort prématurée de l’enfant d’une femme enceinte (Ex 21.22-23). La gravité de la sentence reflète la vérité biblique : « vie pour vie ». 
La réalité est là : selon le ministère de la santé, « plus d’une femme sur trois a recours à une IVG dans sa vie. » 

En tant que chrétiens, nous devons faire attention à défendre une vision biblique de l’homme et de la vie.
Nous devons faire attention à ne pas nous laisser endormir par l’apparente « normalité » de telles pratiques ou encore de leur prétendue validité parce que légale.
Nous ne devons pas nous laisser intimider par les discours—ou les silences—des médias dont la vision séculière du monde nie la valeur de la vie au profit d’un bonheur personnel, acquis au prix de la vie des plus faibles.

Nous ne devons pas nous taire par peur des représailles ou des railleries.
Défendons la vérité de l’Évangile, défendons la vie et rendons gloire à l’Auteur de la vie ! 

Matthieu Giralt


jeudi 18 octobre 2018

Education sexuelle !!!


DIEU punira très sévèrement ceux et celles qui détruisent la vie des enfants...

" À cette heure-là, les disciples s'approchèrent de Jésus, en disant : Qui donc est le plus grand1 dans le royaume des cieux ? Et ayant appelé auprès de lui un petit enfant, il le plaça au milieu d'eux

et dit : En vérité, je vous dis : Si vous ne vous convertissez pas et ne devenez pas comme les petits enfants, vous n'entrerez certainement pas dans le royaume des cieux.

Par conséquent, celui qui s'abaissera lui-même comme ce petit enfant, celui-là sera le plus grand1 dans le royaume des cieux.  
Et celui qui reçoit en mon nom un seul petit enfant tel que celui-ci me reçoit.

Mais si quelqu'un est une occasion de chute pour un de ces petits qui croient en moi, il serait avantageux pour lui qu'on suspende autour de son cou une meule1 et qu'il soit noyé dans les profondeurs de la mer."

Mathieu 18 versets 1 à 6 

jeudi 6 septembre 2018

Le délit d’entrave numérique

 Le délit d’entrave numérique à l’interruption volontaire de grossesse est contraire aux droits de l’homme.
  
Un amendement déposé à l’Assemblée nationale propose d’élargir le délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) aux sites internet qui présentent des informations « fausses » ayant comme but de dissuader les femmes d’avorter. Une telle interdiction porte atteinte à plusieurs droits garantis par la Convention européenne des droits de l’homme, notamment au droit à la liberté d’expression et au droit des femmes à l’accès aux informations, en vertu de leur droit à l’intégrité physique et morale.

Le 12 octobre 2016, un amendement au projet de loi égalité et citoyenneté a été déposé à l’Assemblée nationale afin d’élargir le délit d’entrave à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) aux sites internet qui présentent des informations « fausses » ayant comme but de dissuader les femmes d’avorter.

L’article L. 2223-2 du Code de la santé publique sera ainsi complété par un nouveau alinéa rédigé comme suit : « – soit en diffusant ou en transmettant par tout moyen, notamment par des moyens de communication au public par voie électronique ou de communication au public en ligne, des allégations, indications ou présentations faussées et de nature à induire intentionnellement en erreur, dans un but dissuasif, sur la nature, les caractéristiques ou les conséquences médicales d’une interruption volontaire de grossesse ou à exercer des pressions psychologiques sur les femmes s’informant sur une interruption volontaire de grossesse ou sur l’entourage de ces dernières. »

Les femmes sont-elles vraiment incapables de cerner l’information qui circule sur internet ? Qui décidera si telle ou telle information est fausse ou erronée et selon quels critères ? L’État ? De quel droit ? De quel droit il restreindra la liberté de toute personne de communiquer et de recevoir des informations et le droit des femmes d’avoir accès librement à des informations ? Quel est le vrai but de cette proposition ?


Sous prétexte de fausseté, comme l’avoue le Rapport relatif à l’accès à l’IVG du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes, il semble que le but est de censurer, de réduire au silence, de dissuader et d’annihiler les groupes qui s’opposent à l’avortement et qui proposent aux femmes enceintes d’autres solutions que l’avortement. Sont visés notamment les services d’écoutes IVG et les autres acteurs qui encouragent et promeuvent des solutions alternatives à l’avortement. Parmi eux, nous mentionnons :
les structures d’orientation et d’information, comme les associations, les structures hospitalières (publiques ou privées), les centres médico-sociaux, les gynécologues, les médecins généralistes, les pharmaciens et tout autre personne qui par tout moyen de communication et d’action, notamment par internet, par les plateformes téléphoniques, par voie électronique proposent aux femmes d’autres solutions que l’avortement.

  Source: village-justice.com


lundi 6 août 2018

NÉE D’UN VIOL


Elle prend la parole à l’Assemblée des Citoyens (Irlande)

Une  femme  qui  a  été  conçue  lors  d’un  viol va   s’adresser   à   l’Assemblée   des   citoyens et   l’informer   que   les   circonstances   de   sa conception  ne  l’avaient  pas  conduit  à  perdre son droit à la vie.

Rebecca Kiessling doit utiliser le temps alloué à Youth defence par l’Assemblée pour partager son   témoignage.   La   position   boiteuse   de l’Assemblée  jusqu’à  ce  jour  a  été  sévèrement critiquée, en particulier la décision de donner une  plate-forme  aux  avortistes  de  la  Grande-Bretagne  et  les  États-Unis,  tout  en  omettant d’entendre   des   survivants   de   l’avortement ou  des  lanceurs  d’alerte  dans  l’industrie  de l’avortement.

La  mère  de  Rebecca  a  été  violée  au  couteau, et elle est tombée enceinte suite à l’agression.
Elle  a  ensuite  été  avisée  par  son  conseiller  en matière  de  viol  qu’elle  pouvait  obtenir  un avortement illégal dans des cliniques marron, car  l’avortement  était  illégal  au  Michigan. 

Cependant,  elle  a  été  dissuadée  d’avoir  un avortement  illégal  en  raison  de  l’insalubrité des locaux et des pratiques là-bas. Après avoir donné naissance à Rebecca, sa mère l’a donnée à l’adoption.

Rebecca   a   fondé   «   Save   The   1 », une organisation  pro-vie  qui  agit  en  ministère pour  les  femmes  qui  ont  choisi  de  rejeter l’avortement en dépit d’être enceintes du viol.
Elle dit que les femmes ont besoin de soutien et  de  compassion  après  le  viol,  et  que  les enfants conçus de cette manière sont aussi des êtres humains innocents qui méritent la même protection que tout autre enfant.

 « Je ne suis pas un ‘ enfant de violeur ‘. Je suis un  être  humain.  Je  suis  si  reconnaissante  à  ma mère  pour  ma  vie,  et  tous  les  enfants  devraient  être  protégés,  de  quelque  façon  qu’ils  aient été conçus. Aucun d’entre nous ne mérite la peine de mort », dit-elle.

Le  puissant  témoignage  de  Rebecca  a  déjà  changé  le  cœur  des  candidats  à  la  Présidence et  de  nombreux  législateurs  aux  États-Unis, au  Canada  et  en  Europe.  Elle  a  également aidé  les  victimes  de  viols  à  travers  le  monde à  choisir  la  vie  de  leurs  enfants  et  a  aidé  les victimes  de  viols  à  partager  leurs  histoires  et à faire pression pour une meilleure protection en vertu de la loi, y compris le droit de refuser aux violeurs la garde des enfants.

Elle est aussi avocate, épouse et mère de cinq enfants et donnera un témoignage convaincant aux membres de l’Assemblée.

(Youth Defence, 4 Mars 2017)



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jeudi 5 juillet 2018

Respect de la vie humaine

Certaines recherches sont contraires au respect de la vie humaine.

La sélection des embryons pour leurs critères génétiques

La recherche qui utilise des fœtus avortés

L'utilisation des embryons pour la recherche

L'importation des cellules embryonnaires pour la recherche


 Tout ces "apprentis-sorcier" devront rendre compte à l'auteur de la Vie, lors du jugement dernier...

mercredi 30 mai 2018

Culpabilité !

Pour les mamans écrasées par le regret et la culpabilité d’avoir avorté

Certaines femmes qui ont recours à l’avortement n’éprouvent pas les affres de la séparation et du regret, mais pour d’autres, au contraire, la culpabilité et le regret sont immenses et insurmontables.

    « Vous avez eu tort aux yeux de Dieu. Mais il ne vous a ni rejetée, ni abandonnée. Il vous aime, comme il aimait l’enfant qui grandissait dans votre ventre, et qui est maintenant, j’en suis convaincu, en toute sécurité en sa présence… »

    « Lorsque Christ est mort sur la croix, tous vos péchés – sans exception – lui ont été transférés, et il a pris sur lui le jugement que vous méritiez, comme le dit la Bible : ‘Il est le sacrifice expiatoire pour nos péchés’ (1 Jean 2:2). »

C’est donc l’acceptation du pardon de Dieu en Jésus qui pourra affranchir cette maman du sentiment de culpabilité et du chagrin liés à cet avortement.

    « Demandez à Dieu de vous aider à tendre la main à d’autres dont les cœurs et les esprits ont été marqués, comme le vôtre l’a été. »


vendredi 16 mars 2018

Avortement anodin !



Je vis en ce moment une situation difficile. Pour ne pas m'étaler, je suis
tombée enceinte plus tôt que prévu et mon compagnon et son entourage me
pousse à avorter, alors que je ne le veux absolument pas.

J'ai tenté d'appeler le Planning Familial, dont les réponses m'ont beaucoup
déçue, car selon eux, il n'y a aucun risque, c'est aussi anodin que d'aller
acheter du pain, excusez-moi de l'expression !

Je cherche désespérément l'avis de professionnels de santé tels que
médecins et gynécologues, pour avoir les réels risques lié à l'IVG, dans
le but de les transmettre à mon compagnon, qui ne connait presque pas cette
pratique...

vendredi 16 février 2018

Dolores O’Riordan

 Dolores O’Riordan, chanteuse du groupe "Cranberries"

De l’avortement, elle assurait en 1995, aux journalistes de Rolling Stone :

« Je ne suis pas en mesure de juger d’autres femmes, vous savez ?

C’est mauvais pour les femmes de traverser cette procédure et d’avoir un être vivant aspiré de son corps. Cela rabaisse la femme, même si certaines disent :
“Oh, cela ne me dérange pas d’avorter.”
Chaque fois qu’une femme avorte, elle broie son amour-propre un peu plus encore. »


lundi 15 janvier 2018

La bouleversante histoire d’une inversion d’avortement


“Votre bébé est vivant !” : La bouleversante histoire d’une inversion d’avortement

Les parents de Summer n’étaient pas favorables à sa relation avec Jason, la différence d’âge leur paraissait trop importante.

Mais les deux jeunes adolescents sont amoureux et s’engagent pleinement dans cette relation. Lycée, université, rodéo, spectacle équestre, des projets plein la tête et la vie devant eux, Summer et Jason ne s’attendaient pas à une telle nouvelle. La jeune fille est pourtant enceinte de 7 semaines. Il faut désormais composer avec cette réalité et penser à l’avenir d’une manière bien différente. Le jeune couple décide finalement d’interrompre la grossesse par voie chimique.

“Mes parents vont me tuer ! Je ne suis pas prête à être maman… »

Summer et Jason prennent rendez-vous à la clinique et confirment malgré leurs doutes, la décision de mettre fin à la grossesse.

« Je me suis convaincue qu’il n’y avait pas d’autre option.”

Summer n’est enceinte que depuis quelques semaines, un prise de médicaments suffira. La jeune fille prend la première des deux pilules nécessaires, la pilule abortive RU-486, et quitte la clinique. Mais sur le chemin du retour, les deux adolescents s’effondrent en larmes.

“L’angoisse et le regret était écrasants… Nous savions que nous avions fait la plus grande erreur de notre vie.”


Selon la clinique, il était trop tard pour faire marche arrière. Le premier traitement devait altérer le placenta de manière irréversible. Le traitement du lendemain aurait quant à lui provoqué l’avortement. Le lendemain, les douleurs sont intenses, mais Summer refuse de prendre le deuxième traitement.

“Nous avons pleuré à Dieu pour le pardon et la guérison… Nous avons prié pour une seconde chance… Si seulement nous pouvions faire marche arrière…”

C’est en cherchant sur Internet que Jason a finalement trouvé un médecin en mesure de les aider. N’ayant pas pris le deuxième traitement, il était encore possible d’inverser l’avortement avec une prise de progestérone.

Deux semaines plus tard, l’échographie est positive.

“Votre bébé est vivant ! Voulez-vous voir les battements du coeur ?”

La petite Finley est née le 5 janvier.

« Tout le monde est si heureux et fou amoureux de notre fille. Elle a changé nos vies pour le meilleur, et nous sommes reconnaissants. »