Le retour des « Survivants »
Ce mouvement entend dénoncer la banalisation de l’avortement par des actions fortement médiatisées. Explications d’Émile Duport, l’un des organisateurs.
Pourquoi le mouvement « Les Survivants » resurgit-il tout d’un coup sur la scène médiatique ?
Ce mouvement, créé en 1998, rassemblait des jeunes nés après la loi Veil, qui n’avaient logiquement pas pu s’exprimer au moment du vote de la loi dépénalisant l’avortement. « Survivants », car nous estimons que nous avions 1 chance sur 5 de ne pas voir le jour : chaque année en France, 200 000 avortements sont pratiqués pour 800 000 naissances.
Aujourd’hui, nous sommes 200 jeunes, animés par le désir de dénoncer les dégâts causés par la loi de 1975. Par des actions radicales, surprenantes et inattendues, nous voulons faire prendre conscience à la société de ce que représente réellement un avortement, et que des alternatives à l’IVG doivent être développées.
Hugues Lefèvre et Pierre Erceau
Ce mouvement entend dénoncer la banalisation de l’avortement par des actions fortement médiatisées. Explications d’Émile Duport, l’un des organisateurs.
Pourquoi le mouvement « Les Survivants » resurgit-il tout d’un coup sur la scène médiatique ?
Ce mouvement, créé en 1998, rassemblait des jeunes nés après la loi Veil, qui n’avaient logiquement pas pu s’exprimer au moment du vote de la loi dépénalisant l’avortement. « Survivants », car nous estimons que nous avions 1 chance sur 5 de ne pas voir le jour : chaque année en France, 200 000 avortements sont pratiqués pour 800 000 naissances.
Aujourd’hui, nous sommes 200 jeunes, animés par le désir de dénoncer les dégâts causés par la loi de 1975. Par des actions radicales, surprenantes et inattendues, nous voulons faire prendre conscience à la société de ce que représente réellement un avortement, et que des alternatives à l’IVG doivent être développées.
Hugues Lefèvre et Pierre Erceau
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