jeudi 28 août 2025

Le côté sombre de l'évolution

par David A. DeWitt, Ph.D.

Le 2 Mai 2002, Mark Warner de Virginie est devenu le premier gouverneur à faire des excuses publiques aux nombreux milliers de personnes qui ont été stérilisées contre leur volonté pendant le mouvement eugénique aux Etats-Unis. En 1979, environ 8.000 personnes en Virginie ont été empêchées de pouvoir avoir des enfants parce qu'elles ont été considérées comme 'anormal'.

Le porte-parole du Gouverneur Warner a dit qu'il espère que ceci (excuses) attirera l'attention sur la mauvaise interprétation de la science, et tout le mauvais qui peut venir d'elle dans une ère de technologie biologique où les débats moraux resurgiront.


Cependant, la plupart des personnes ne se rendent pas compte que l'eugénisme est simplement une conclusion logique de l'évolution de Darwin.

Une étude de l'université de Yale a fait la lumière sur le côté sombre de l'évolution sous forme de darwinisme social. Le darwinisme social est l'application des principes évolutionnaires aux humains, plus particulièrement sous forme d'eugénisme. En raison du mouvement eugénique aux Etats-Unis, presque 100.000 personnes ont été stérilisées, beaucoup contre leur volonté. Ces stérilisations étaient légales dans plusieurs états même aussi récemment que 1974.

Les individus considérés mentalement déficients ou délinquants ont été stérilisés pour les empêcher d'avoir des enfants qui seraient eux aussi 'anormaux'. La motivation de ceux qui ont favorisé l'eugénisme a été bien documenté comme étant liée à la théorie de Darwin. Ils ont cherché à éliminer la progéniture 'anormale' et à augmenter le nombre de 'normaux' dans un genre de 'sélection naturelle'. Ils ont cru que ce qu'ils faisaient était pour le bien de la race humaine.

L'eugénisme a été utilisé dans beaucoup d'autres pays comprenant la France, la Suède et l'Australie. Les lois eugéniques aux États-Unis ont servi de modèle aux lois que Hitler a décrété en Allemagne. L'Allemagne a été glorifiée en tant qu'ayant un programme eugénique efficace, stérilisant plus de 300.000 personnes. Ceci a été alors suivi d'euthanasies, d'expérimentations humaine, et du massacre actif des gens considérés comme 'génétiquement inférieurs'.

Tragiquement, l'eugénisme est une conséquence naturelle à une vision évolutionnaire du monde et difficile à critiquer si on se base sur la 'survie du plus fort'. En effet, de soutenir les personnes qui sont handicapées ou considérées inférieures est de travailler contre l'évolution, peut-être au détriment de l'humanité.


Tandis que les gens sont consternés à cette période de l'histoire américaine, ils insistent sur le fait qu'une telle chose ne se produirait pas de nouveau. Mais aujourd'hui, au lieu de la stérilisation, l'avortement est encouragé pour les mères qui ont des risques d'avoir un enfant 'anormal'. À l'avenir, nous ferons face à la perspective de la recherche foetale de tissu, de la vente d'organe ou sa culture et du clonage humain.

Bien que les critiques insistent sur le fait que l'eugénisme a été basé sur de la mauvaise science, ils ignorent souvent le lien à l'évolution. Les gens ne sont pas égaux en termes de capacités. Certains sont plus futés, plus forts, plus rapides et plus fertiles. Si la nature est tout ce qu'il y a, alors qu'est-ce qu'il y a de mal avec l'eugénique? Dans un monde sans Dieu, il semblerait prudent d'appliquer les principes de sélection naturelle aux êtres humains.

Cependant, puisque nous sommes tous créés à l'image de Dieu, donc nous avons une valeur égale. Et le Christ est venu pour racheter les êtres humains. Ces faits donnent la base de la dignité humaine.


lundi 28 juillet 2025

Que deviennent les foetus et les bébés ?

Les foetus sont incinérés ou jetés aux ordures... tout du moins c'est la réponse officielle. Pourtant, en
pratique, un véritable marché du foetus s'est développé, rapportant des sommes d'argent considérables aux cliniques et hôpitaux pratiquant des avortements.

Des médecins ex-avorteurs confient que lorsque les foetus peuvent être mis de côté, ils sont vendus aux laboratoires de produits chimiques qui les utilisent pour en faire des cosmétiques. Là encore, nous sommes en plein dans des pratiques nazies puisque les SS fabriquaient eux aussi du savon avec la graisse des juifs!...

Aux Etats-Unis, où l'avortement est pratiqué jusqu'au 9ème mois de grossesse, les bébés sont vendus à la recherche pour des expérimentations scientifiques (exposition à des radiations nucléaires et autres...) ou à la recherche médicales!.

En Belgique, des femmes sont payées pour porter leur enfant indésirable jusqu'au sixième ou septième mois afin de le céder ensuite, bien vivant, à la médecine ou à l'industrie cosmétique comme matière première.

En France, des embryons humains sont actuellement en congélation à Jouy-en-Josas, et rien n'interdit de penser qu'ils pourraient être réimplantés dans une ou plusieurs décennies dans la matrice de leur arrière petite-fille génétique.

Enfin, pour clore ce chapitre, il est à noter qu'il existe une coïncidence assez troublante entre ceux qui fournissaient à Hitler le gaz de la mort et ceux qui fabriquent aujourd'hui la pilule abortive RU 486. Ceci nous ramène au procès de Nuremberg: les dirigeants du cartel IG Farben y ont été inculpés pour crimes de guerre, car ayant fourni à travers leur filiale Degesch le tristement célèbre Zyklon B, gaz de la mort, utilisé pour l'extermination des juifs dans les chambres d'Auschwitz. Ces livraisons du gaz mortel étaient parfaitement légales car la loi allemande de l'époque autorisait la liquidation des juifs. Comme IG Farben, Roussel-Uclaf fabrique légalement un poison mortel. Curieusement, IG Farben n'a pas été démantelée après la seconde guerre mondiale; mais a été simplement divisée en trois groupes:

Le groupe BASF 

Le groupe Bayer 

Le groupe Hoechst 

Hors, Roussel-Uclaf est entièrement contrôlée (à 54% du capital) par le groupe Hoechst, issu de IG Farben!!.



vendredi 4 juillet 2025

C'est risqué...!

 

La plupart des gens sont désinformés par la propagande du lobby de l’avortement.

Ils croient que l’« IVG » est un acte sans danger pour la santé de la femme.

S’ils lisent « 50 questions et réponses contre l’avortement », ils sauront que c’est faux.

Une femme qui se soumet à un avortement peut développer, parmi d’autres, les pathologies suivantes :

  • Hémorragie : À une époque où le sang peut transmettre le virus du SIDA, l’hémorragie utérine peut mettre en péril la vie de la mère : des femmes qui avortent peuvent, en effet, nécessiter de transfusions de sang, suite à d’importantes hémorragies.
  • Infection : S’il reste des débris fœtaux dans l’utérus ou si les instruments ne sont pas stériles, la mère risque la stérilité à vie par infection des trompes utérines.
  • Lésions du cervix : Les instruments utilisés pour dilater le col utérin peuvent l’endommager, pouvant provoquer, par sa béance, des fausses couches et des naissances prématurées.
  • Utérus perforé : Une curette peut perforer la paroi utérine, en provoquant une inflammation (péritonite) ; cela peut aboutir à l’ablation de l’utérus tout entier, rendant la femme stérile pour toujours.
  • Intestins perforés : Si, au cours d’une aspiration ou d’un curetage, par fausse manœuvre, l’instrument employé perfore l’utérus puis le côlon, il s’ensuit une

opération chirurgicale (résection) pour enlever la portion endommagée de l’intestin.

Vous comprenez pourquoi il est si urgent et si important de rétablir la vérité ?


Adèle Cottereau



 

dimanche 8 juin 2025

A peine croyable !

Des pratiques horribles dans les hôpitaux laissent des bébés nés vivants après des avortements tardifs mourir seuls et sans soins.

Dur à imaginer, n’est-ce pas ?

Nous n’avons malheureusement pas de données sur le nombre de ces nourrissons innocents négligés, qui souffrent dans des conditions atroces ou sont utilisés pour la recherche comme cobayes de laboratoire. Rien ne filtre, derrière les portes closes de ces hôpitaux qui pratiquent ces sordides agissements…

Sauf, quand du personnel soignant craque et témoigne, sous couvert d’anonymat la plupart du temps, par peur de représailles.

Nous devons agir immédiatement pour mettre fin à cette inhumanité. De plus en plus de pays légalisent les avortements tardifs, ce qui signifie que davantage de bébés nés vivants ont besoin de notre protection. Dans plusieurs pays déjà, notamment en Amérique du Nord, les avortements tardifs vont même jusqu’à neuf mois !!!


Impensable en France, me direz-vous ?

Et bien pourtant, l’Assemblée nationale a adopté, depuis 2020, un amendement pour pouvoir avorter jusqu’au 9ᵉ mois pour "détresse psychosociale”, incluant la précarité, la souffrance psychologique et si la mère adopte des comportements hétéro-agressifs envers le fœtus (coups, coups de couteau, médicaments, etc.). Le bébé sera éliminé avant d'être tué par la mère.

Si la mère va mal ou est dans une situation difficile, au lieu de mettre en place une aide spécifique, on lui offre de la délester de son bébé de neuf mois !?!


mercredi 30 avril 2025

La souffrance du foetus !

Le foetus souffre   


Stuart Derbyshire, de l'École de psychologie de Birmingham, s'est penché sur la question de la souffrance du foetus et sur la nécessité de donner des antalgiques à une femme qui avorte.

Ce n'est pas parce que les circuits neurologiques du foetus sont encore immatures, ni parce qu'ils n'ont pas acquis un niveau de conscience développé permettant une expression de la douleur, que la question de l'acceptabilité de l'IVG est résolue, explique-t-il dans le British Medical Journal. Il ajoute que même si le foetus ne souffre pas, les questions d'ordre moral et légal posées par l'avortement demeurent entières.

Aux États-unis, des instances réfléchissent à une loi sur l'avortement pour des foetus de plus de 22 semaines, mentionnant l'obligation de délivrer des antalgiques pour diminuer la douleur ressentie par le foetus. Une information aux mères sur les douleurs du foetus devrait également être délivrée. 

Au Royaume-Uni, des images d'échographie en couleur et en 3 D sont diffusées, pour suggérer que les foetus ont des réactions cognitives et émotionnelles. 

Stuart Derbyshire explique que des développements neurologiques importants ont lieu au cours des 7e, 18e et 22ème semaines de gestation mais cela ne suffit pas pour nous éclairer sur la souffrance du foetus.

Pour ressentir une douleur, explique-t-il, il faut que l'esprit de la personne ait subi une maturation, au même titre que ses centres nerveux et cérébraux, ce qui n'est pas le cas au stade foetal. Une vie terrestre extra-utérine est selon lui nécessaire à l'évolution de la subjectivité. Pour que la fonction de conscience se développe, un environnement propice, psychologique et sensoriel est nécessaire.

Aujourd'hui, il n'existe pas suffisamment d'arguments pour faire prescrire des antalgiques chez des foetus.

Le Quotidien du Médecin (Dr Béatrice Vuaille)   


mardi 25 mars 2025

Les avortements tardifs

Des pratiques horribles dans les hôpitaux laissent des bébés nés vivants après des avortements tardifs mourir seuls et sans soins.

Dur à imaginer, n’est-ce pas ?

Nous n’avons malheureusement pas de données sur le nombre de ces nourrissons innocents négligés, qui souffrent dans des conditions atroces ou sont utilisés pour la recherche comme cobayes de laboratoire. Rien ne filtre, derrière les portes closes de ces hôpitaux qui pratiquent ces sordides agissements…

Sauf, quand du personnel soignant craque et témoigne, sous couvert d’anonymat la plupart du temps, par peur de représailles.

Nous devons agir immédiatement pour mettre fin à cette inhumanité. De plus en plus de pays légalisent les avortements tardifs, ce qui signifie que davantage de bébés nés vivants ont besoin de notre protection. Dans plusieurs pays déjà, notamment en Amérique du Nord, les avortements tardifs vont même jusqu’à neuf mois !!!


Impensable en France, me direz-vous ?

Et bien pourtant, l’Assemblée nationale a adopté, depuis 2020, un amendement pour pouvoir avorter jusqu’au 9ᵉ mois pour "détresse psychosociale”, incluant la précarité, la souffrance psychologique et si la mère adopte des comportements hétéro-agressifs envers le fœtus (coups, coups de couteau, médicaments, etc.). Le bébé sera éliminé avant d'être tué par la mère.

Si la mère va mal ou est dans une situation difficile, au lieu de mettre en place une aide spécifique, on lui offre de la délester de son bébé de neuf mois !?!

Anonyme 

Commentaire :

Tout ces tueurs professionnels seront condamnés par DIEU et jeté en enfer où ils souffriront éternellement sans le moindre espoir d'en sortir...!

mardi 18 février 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.

Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


Commentaire : DIEU fera justice lors du jugement dernier, ça va être terrible !