mardi 25 mars 2025

Les avortements tardifs

Des pratiques horribles dans les hôpitaux laissent des bébés nés vivants après des avortements tardifs mourir seuls et sans soins.

Dur à imaginer, n’est-ce pas ?

Nous n’avons malheureusement pas de données sur le nombre de ces nourrissons innocents négligés, qui souffrent dans des conditions atroces ou sont utilisés pour la recherche comme cobayes de laboratoire. Rien ne filtre, derrière les portes closes de ces hôpitaux qui pratiquent ces sordides agissements…

Sauf, quand du personnel soignant craque et témoigne, sous couvert d’anonymat la plupart du temps, par peur de représailles.

Nous devons agir immédiatement pour mettre fin à cette inhumanité. De plus en plus de pays légalisent les avortements tardifs, ce qui signifie que davantage de bébés nés vivants ont besoin de notre protection. Dans plusieurs pays déjà, notamment en Amérique du Nord, les avortements tardifs vont même jusqu’à neuf mois !!!


Impensable en France, me direz-vous ?

Et bien pourtant, l’Assemblée nationale a adopté, depuis 2020, un amendement pour pouvoir avorter jusqu’au 9ᵉ mois pour "détresse psychosociale”, incluant la précarité, la souffrance psychologique et si la mère adopte des comportements hétéro-agressifs envers le fœtus (coups, coups de couteau, médicaments, etc.). Le bébé sera éliminé avant d'être tué par la mère.

Si la mère va mal ou est dans une situation difficile, au lieu de mettre en place une aide spécifique, on lui offre de la délester de son bébé de neuf mois !?!

Anonyme 

Commentaire :

Tout ces tueurs professionnels seront condamnés par DIEU et jeté en enfer où ils souffriront éternellement sans le moindre espoir d'en sortir...!

mardi 18 février 2025

Les médecins contraints de pratiquer des avortements

Si en France le recours à l’avortement est légal depuis 1975, la loi Veil est assortie d’une clause qui garantit au personnel soignant la liberté de refuser de pratiquer un avortement. « Il va de soi qu’aucun médecin ou auxiliaire médical ne sera jamais tenu d’y participer »,  avait déclaré Simone Veil à propos de l’« IVG » au moment du vote de la loi qui porte son nom. D’après le lobby de l’avortement, la clause de conscience est aujourd’hui la principale menace qui pèse sur le recours à l’« IVG ».  « La clause de conscience sur l’avortement, c’est une entrave aux droits des femmes et à leur santé, et un vrai danger à terme pour ce droit fondamental. En Italie, + de 70% des médecins refusent », a ainsi déclaré sur twitter la Présidente du Planning familial.

Plusieurs propositions de lois ont été déposées à l’Assemblée nationale et au Sénat pour retirer cette garantie reconnue aux médecins, mais toutes ont échoué. Une fois l’avortement devenu une « liberté » garantie par la Constitution, la tentation sera grande pour le législateur d’abroger dans la foulée la clause accusée d’être la principale entrave à l’exercice de ladite liberté. Si, malgré tout, le législateur s’abstenait d’agir, c’est le Conseil constitutionnel qui pourrait abroger la clause de conscience, en vertu du principe de la hiérarchie des normes qui interdit aux lois de contredire le texte constitutionnel. Les médecins et sage-femmes objecteurs de conscience n’auront alors d’autre choix que de renoncer à l’exercice de leur art ou de s’exposer à des poursuites judiciaires. Des centaines de milliers de femmes pourraient donc perdre leur gynécologue et si elles le conservent, elles pourront être certaines que celui-ci est aussi un avorteur.

Les associations pro-vie menacées

Les conséquences néfastes de la constitutionnalisation de l’avortement ne s’arrêteront pas là. En devenant une liberté constitutionnelle, le recours à l’« IVG » deviendra en quelque sorte un nouveau dogme républicain au même titre, par exemple, que le suffrage universel ou la laïcité. Contrevenir à ce dogme, ou simplement refuser d’y adhérer, exposera à l’accusation infamante de « séparatisme ».  

Les associations pro-vie seront bâillonnées voire carrément dissoutes. Les conséquences de cette chasse aux sorcières ne seraient pas seulement dramatiques pour la liberté d’expression… Les associations pro-vie étant les seules à proposer aux femmes enceintes des solutions concrètes pour garder leur bébé, ces dernières se retrouveraient avec le Planning familial pour seul interlocuteur. Des dizaines de milliers de petites vies supplémentaires pourraient donc être sacrifiées chaque année…


Commentaire : DIEU fera justice lors du jugement dernier, ça va être terrible !

lundi 13 janvier 2025

L’eugénisme n’est pas un droit de l’homme


Supprimer son bébé à naitre en raison de sa trisomie 21 doit-il être considéré comme un droit de l’homme ? Tel est le grave enjeu de l’affaire en cours de jugement au niveau de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui s’apprête à déterminer si des parents ont un droit fondamental à recourir à la procédure de dépistage et d’élimination prénatale des enfants malades ou handicapés.

Un jugement positif reviendrait à reconnaître un droit fondamental à l’eugénisme à l’encontre des personnes handicapées.

Face au danger de voir la procédure de dépistage et d’élimination prénatale systématisée et consacrée comme un droit de l’homme, les signataires de cette déclaration, associations, familles et proches de personnes trisomiques et handicapées, en appellent à la conscience de la Cour et des institutions européennes afin qu’elles reconnaissent l’humanité et protègent le droit à la vie des personnes trisomiques et handicapées. 

Reconnaître comme droit de l’homme celui de supprimer la vie des enfants trisomiques avant leur naissance conduit à stigmatiser un groupe humain sélectionné sur la base de son génome, à nier purement et simplement l’humanité des personnes souffrant de cette pathologie, et à instaurer le mécanisme de leur élimination.

Aujourd’hui c’est l’élimination systématique des enfants trisomiques en Europe qui constitue une vraie violation des droits de l’homme, et non que certains d’entre eux aient échappé à cette sélection.

Nous, associations, personnes handicapées et leur famille, nous demandons à la Cour de réaffirmer le principe de l’interdiction de l’eugénisme ainsi que l’obligation des Etats de protéger la vie de toute personne, y compris celle des personnes handicapées avant leur naissance. C’est un enjeu d’humanité pour notre société européenne.


Commentaire :

 Tout ces assassins seront condamnés pour meurtre par le JUGE suprême, DIEU !


jeudi 12 décembre 2024

Le Génocide continue

Il n'y a pas de génocide à Gaza, mais il est mondial et entre autre : 

Il n’y a jamais eu autant d’avortements en France.

Tenez-vous bien, 234 000 bébés ont péri suite à une « IVG » en 2022.

Jamais l’on n’a autant tué dans ce pays.

Si c’étaient des adultes qui avaient été ainsi supprimés et non des enfants à naître, cela ferait la Une de tous les journaux.

Ce serait même très probablement le sujet n°1 des élections européennes.

Mais ici, pas un mot. Pourquoi ? Parce que personne ne voit ni n’entend les petites victimes.

Vous et moi ne pouvons pas nous habituer à cette injustice.

Nous avons le devoir de rendre visible le sort des enfants à naître...







vendredi 18 octobre 2024

Le point de vue de Dieu

 

Le mot grec traduit par "enfant" est "breposs". C'est le même mot qui est employé pour désigner les enfants mis à mort sur l'ordre de Pharaon. Ce mot est aussi utilisé dans Luc 1 :41, 44 pour désigner le bébé qui est encore dans le sein de sa mère. Dans d'autres passages, il désigne aussi un embryon, un fœtus, un bébé, ou un petit enfant (Luc 2 :12, 2 :16, 18 :15 ; 2 Tim. 3 :15 ; Actes 7 :19 ; 1 Pierre 2 :2).

La Bible dit que "la vie est dans le sang". Dieu ne fait aucune différence entre un enfant qui n'est pas encore né et un nouveau-né ! Pour lui, ce sont tous des enfants.

"Voici, des fils sont un héritage de l'Eternel, le fruit des entrailles est une récompense" (Psaume 127 :3). Il suffit d'attendre neuf mois pour que ce fruit des entrailles devienne une bénédiction !

"Ne m'as-tu pas coulé comme du lait ? Ne m'as-tu pas caillé comme du fromage ? Tu m'as revêtu de peau et de chair, tu m'as tissé d'os et de nerfs ; tu m'as accordé ta grâce avec la vie, tu m'as conservé par tes soins et sous ta garde" (Job 10 :10-12).


Ces versets nous montrent que Dieu était activement engagé dans la formation de Job dans le sein de sa mère ! C'est Dieu qui l'a revêtu de peau et de chair, qui l'a tissé d'os et de nerfs, et qui a formé toute la complexité de son corps humain. Cela nous prouve que Dieu est l'auteur de la partie matérielle de notre être, comme de sa partie immatérielle. Remarquez qu'il dit que Dieu l'a revêtu de peau. Il y a un esprit humain dans notre corps. Chaque être humain est unique et précieux aux yeux de Dieu. Il est un don de Dieu. Dieu ne forme pas une "chose" non-humaine dans le sein maternel, mais un enfant, qui reste un enfant de la conception à la naissance. Cet enfant ne subit aucun changement biologique lorsqu'il quitte le sein de sa mère !

"Eternel ! tu me sondes et tu me connais, tu sais quand je m'assieds et quand je me lève, tu pénètres de loin ma pensée ; tu sais quand je marche et quand je me couche, et tu pénètres toutes mes voies. Car la parole n'est pas sur ma langue, que déjà, ô Eternel ! tu la connais entièrement. Tu m'entoures par derrière et par devant, et tu mets ta main sur moi. Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée, elle est trop élevée pour que je puisse la saisir" (Psaume 139 :1-6). Ce passage nous montre que Dieu connaît chacune de nos paroles, avant même que nous les prononcions. Il connaît parfaitement l'identité ce cet être vivant que nous appelons un fœtus.


"C'est toi qui as formé mes reins, qui m'as tissé dans le sein de ma mère. Je te loue de ce que je suis une créature si merveilleuse. Tes œuvres sont admirables, et mon âme le reconnaît bien. Mon corps n'était point caché devant toi, lorsque j'ai été fait dans un lieu secret, tissé dans les profondeurs de la terre. Quand je n'étais qu'une masse informe, tes yeux me voyaient ; et sur ton livre étaient tous inscrits les jours qui m'étaient destinés, avant qu'aucun d'eux existât" (Psaume 139 :13-16). Dieu connaît dès le début quelle sera notre fin, avant même de créer qui que ce soit. Il connaît tout ce qui nous concerne avant même de nous donner la vie. La "masse informe" dont parle ce Psaume fait référence à l'embryon.

"Ainsi parle l'Eternel, ton rédempteur, celui qui t'a formé dès ta naissance (mot à mot : "dès le sein maternel) : moi, l'Eternel, j'ai fait toutes choses, seul j'ai déployé les cieux, seul j'ai étendu la terre" (Esaïe 44 :24).

"L'Eternel lui dit : Qui a fait la bouche de l'homme ? et qui rend muet ou sourd, voyant ou aveugle ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ?" (Exode 4 :11). Un enfant infirme ou handicapé est considéré par Dieu comme n'importe quel autre être humain. C'est Dieu qui permet que l'on vive. Malheureusement, la chute de l'homme et nos propres péchés peuvent affecter le développement de l'enfant. Mais c'est quand même Dieu qui permet à cet enfant de vivre et de naître.


"Malheur à qui conteste avec son créateur ! - Vase parmi des vases de terre ! - L'argile dit-elle à celui qui la façonne : Que fais-tu ? Et ton œuvre : Il n'a point de mains ? Malheur à qui dit à son père : Pourquoi m'as-tu engendré ? Et à sa mère : Pourquoi m'as-tu enfanté ? Ainsi parle l'Eternel, le Saint d'Israël, et son créateur : Veut-on me questionner sur l'avenir, me donner des ordres sur mes enfants et sur l'œuvre de mes mains ?" (Esaïe 45 :9-11).

"Cependant, ô Eternel, tu es notre père ; nous sommes l'argile, et c'est toi qui nous as formés, nous sommes tous l'ouvrage de tes mains" (Esaïe 64 :8). Si c'est Dieu qui donne la vie, qui sommes-nous donc pour décider de l'ôter, surtout quand cette vie se développe dans un sein maternel qui devrait la protéger ?

"Tu ne prononceras point de sentence inique, et tu ne feras point mourir l'innocent et le juste ; car je n'absoudrai point le coupable" (Exode 23 :7). Avorter un bébé, c'est faire mourir un innocent.

" Il y a six choses que hait l'Eternel, et même sept qu'il a en horreur ; les yeux hautains, la langue menteuse, les mains qui répandent le sang innocent, le cœur qui médite des projets iniques, les pieds qui se hâtent de courir au mal, le faux témoin qui dit des mensonges, et celui qui excite des querelles entre frères" (Prov. 6 :16-19).


"Les yeux de l'Eternel sont en tout lieu, observant les méchants et les bons" (Prov. 15 :3). Dieu connaît les intentions des cœurs, surtout de ceux qui se hâtent à verser le sang.

"Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume ! Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, et qui se croient intelligents !" (Esaïe 5 :20-21).

Quand Israël est tombé dans l'idolâtrie, ils ont sacrifié leurs bébés à des faux dieux (en grec, daimonoi, démons). Mais nous faisons aujourd'hui exactement comme eux, nous sacrifions nos bébés. Les raisons purement médicales représentent un très faible pourcentage des avortements. Les païens ont l'habitude superstitieuse de sacrifier leurs bébés, pour obtenir de meilleures récoltes, pour réussir dans leurs projets, ou simplement par commodité ou par plaisir. Peut-on obtenir quelque chose de bon avec des moyens aussi mauvais ? Pas plus aujourd'hui que dans le passé !

Le fait qu'un être humain ne soit pas encore né ne fait aucune différence pour Dieu (Exode 21 :22-25). Il ne fait aucune distinction entre les jeunes et les vieux. En ce qui concerne les bébés, on ne voit dans la Bible rien qui puisse justifier qu'on tue un innocent, s'il n'est pas encore né.

Paul écrit dans Galates 1 :15 : "Mais, lorsqu'il plut à celui qui m'avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m'a appelé par sa grâce…" Paul reconnaît que c'est Dieu qui a planifié sa vie dès le moment de sa conception, à la gloire de Son Créateur.


Nous avons été prédestinés à accomplir des œuvres bonnes (Ephésiens 2 :10). Dieu a pour chacun de nous un plan, et Il veut que nous l'accomplissions selon Sa volonté.

L'Ecriture est donc claire, en ce qui concerne la personnalité d'un bébé qui n'est pas encore né. Une grossesse est une bénédiction, car elle concerne une précieuse vie. Que le meurtre d'un enfant soit commis dans le sein ou hors du sein maternel, il est toujours aussi condamnable. Le diable est venu pour tuer, dérober et détruire. C'est exactement ce qui se passe au cours d'un avortement. Il tue l'innocent, il dérobe le bonheur que la mère et l'enfant pourraient avoir, et il détruit le plan que Dieu avait pour cet enfant. Il détruit même souvent les relations entre la mère et son mari, ainsi qu'avec les enfants qu'elle pourra avoir plus tard.

L'avortement n'est pas nouveau. Il est mentionné dans l'Ancien Testament. Les premiers auteurs chrétiens étaient confrontés au même problème que nous aujourd'hui, car ils vivaient sous le gouvernement des Romains. Ils ont employé les mêmes paroles et les mêmes arguments que l'on retrouve aujourd'hui.

Voici ce qu'écrivait Marc Félix en 170 après J.C. : "Il y a au milieu de nous certaines femmes qui boivent des potions spéciales pour ôter la vie d'un être humain qu'elles portent dans leur sein. Elles commettent donc sur lui un meurtre, avant même de lui avoir donné le jour. (Marc Félix, avocat chrétien, Octavius, chapitre 30).

En 177, Athénagoras écrivait : "Quel homme rempli de bon sens affirmerait donc que nous pourrions être des meurtriers ? Quand nous disons que les femmes qui absorbent des drogues pour avorter commettent un meurtre, et qu'elles devront en rendre compte à Dieu, quels sont les principes qui pourraient nous autoriser à commettre un meurtre ? Si l'on regarde un fœtus comme un être créé, qui est donc l'objet des soins de Dieu, nous n'avons pas le droit de le tuer après lui avoir donné la vie. Nous ne devons pas non plus exposer (abandonner) un nouveau-né. Car ceux qui exposent un nouveau-né sont coupables d'infanticide. Quand on a commencé à élever un enfant, on ne l'abandonne pas à la destruction" (Plaidoyer pour les Chrétiens 35, chapitre 5).

En 210, Tertullien a écrit : "Parmi les instruments du chirurgien, il y a un couteau flexible qui permet d'ouvrir l'utérus, et de le maintenir ouvert. Il comprend aussi une lame annulaire, qui permet de disséquer délicatement les membres de l'enfant dans le ventre de sa mère. Il comprend enfin un appendice en forme de crochet, qui permet d'extraire tout le fœtus en une seule fois. Les chirurgiens ont appelé cet instrument "embruosphaktes", ce qui signifie "instrument de mise à mort de l'embryon". (Les médecins qui pratiquent ces avortements) savent tous très bien qu'il s'agit d'un être vivant qui a été conçu. Ils ont quand même eu pitié de ce malheureux bébé, en commençant par le mettre à mort, pour ne pas le torturer vivant" (L'âme 25).

Le même auteur a aussi écrit, la même année : "Dans notre cas, puisque le meurtre nous est à jamais interdit, il ne nous est pas permis de détruire même le fœtus dans le sein de sa mère… Mettre fin à une grossesse n'est qu'un moyen plus rapide de mettre fin à une vie humaine. Il faut mettre sur le même plan la mise à mort d'un être humain déjà né et celle d'un être humain encore à naître. Cet embryon est destiné à devenir un homme. Il est comme la semence d'un fruit futur" (Apologie 9 :8).

En 228, Hippolyte a écrit : "Des femmes qui prétendent être Chrétiennes prennent des drogues qui les rendent stériles, ou se serrent très fort le ventre pour expulser le bébé qu'elles ont conçu. Car elles refusent, à cause de leur richesse et de leurs relations, de porter un enfant conçu par un esclave ou par une personne insignifiante. Voyez-vous, par conséquent, combien est grande l'impiété de ceux qui enseignent l'adultère en même temps que le meurtre !" (Réfutation de toutes les hérésies).

De son côté, Flavius Josèphe, historien Juif, a écrit : "En outre, la loi nous ordonne d'élever tous nos enfants, et interdit aux femmes d'avorter leur progéniture ou de la détruire après la naissance. S'il est prouvé qu'une femme a agi de la sorte, elle sera considérée comme la meurtrière de son enfant, parce qu'elle a détruit une créature vivante, en amoindrissant l'humanité" (Flavius Josèphe contre Apion, Livre II).


mardi 1 octobre 2024

Conséquences possibles de l'avortement

 Une femme qui se soumet à un avortement peut développer, parmi d’autres, les pathologies suivantes :

    Hémorragie : À une époque où le sang peut transmettre le virus du SIDA, l’hémorragie utérine peut mettre en péril la vie de la mère : des femmes qui avortent peuvent, en effet, nécessiter de transfusions de sang, suite à d’importantes hémorragies.

    Infection : S’il reste des débris fœtaux dans l’utérus ou si les instruments ne sont pas stériles, la mère risque la stérilité à vie par infection des trompes utérines.

    Lésions du cervix : Les instruments utilisés pour dilater le col utérin peuvent l’endommager, pouvant provoquer, par sa béance, des fausses couches et des naissances prématurées.

    Utérus perforé : Une curette peut perforer la paroi utérine, en provoquant une inflammation (péritonite) ; cela peut aboutir à l’ablation de l’utérus tout entier, rendant la femme stérile pour toujours.

    Intestins perforés : Si, au cours d’une aspiration ou d’un curetage, par fausse manœuvre, l’instrument employé perfore l’utérus puis le côlon, il s’ensuit une opération chirurgicale (résection) pour enlever la portion endommagée de l’intestin.

Vous comprenez pourquoi il est si urgent et si important de rétablir la vérité ?

A bientôt,

Adèle Cottereau



mercredi 28 août 2024

 

Directives de l'OMS !!!

 "Les jeunes enfants sont des êtres sexuels qui doivent avoir des partenaires sexuels et commencer à avoir des relations sexuelles le plus tôt possible. C'est pourquoi les écoles maternelles et élémentaires doivent apprendre aux enfants à développer la convoitise et le désir sexuel, à apprendre la masturbation, à construire des relations homosexuelles, à utiliser la pornographie en ligne et à apprendre différentes techniques sexuelles telles que la fellation."

Il s'agit là d'un résumé limité des directives officielles émises par l'Organisation Mondiale de la Santé et les Nations Unies à l'intention des autorités éducatives du monde entier. Pendant ce temps, des organisations judiciaires publient des déclarations selon lesquelles les relations sexuelles entre petits enfants et adultes devraient être légalisées, tandis que des médias appellent à l'acceptation de la pédophilie comme une orientation sexuelle normale.

Commentaire de Pierre ;

Tout ces pervers seront condamnés par DIEU lors du jugement final, et seront jetés dans le feu éternel.

Amen !