lundi 28 juillet 2025

Que deviennent les foetus et les bébés ?

Les foetus sont incinérés ou jetés aux ordures... tout du moins c'est la réponse officielle. Pourtant, en
pratique, un véritable marché du foetus s'est développé, rapportant des sommes d'argent considérables aux cliniques et hôpitaux pratiquant des avortements.

Des médecins ex-avorteurs confient que lorsque les foetus peuvent être mis de côté, ils sont vendus aux laboratoires de produits chimiques qui les utilisent pour en faire des cosmétiques. Là encore, nous sommes en plein dans des pratiques nazies puisque les SS fabriquaient eux aussi du savon avec la graisse des juifs!...

Aux Etats-Unis, où l'avortement est pratiqué jusqu'au 9ème mois de grossesse, les bébés sont vendus à la recherche pour des expérimentations scientifiques (exposition à des radiations nucléaires et autres...) ou à la recherche médicales!.

En Belgique, des femmes sont payées pour porter leur enfant indésirable jusqu'au sixième ou septième mois afin de le céder ensuite, bien vivant, à la médecine ou à l'industrie cosmétique comme matière première.

En France, des embryons humains sont actuellement en congélation à Jouy-en-Josas, et rien n'interdit de penser qu'ils pourraient être réimplantés dans une ou plusieurs décennies dans la matrice de leur arrière petite-fille génétique.

Enfin, pour clore ce chapitre, il est à noter qu'il existe une coïncidence assez troublante entre ceux qui fournissaient à Hitler le gaz de la mort et ceux qui fabriquent aujourd'hui la pilule abortive RU 486. Ceci nous ramène au procès de Nuremberg: les dirigeants du cartel IG Farben y ont été inculpés pour crimes de guerre, car ayant fourni à travers leur filiale Degesch le tristement célèbre Zyklon B, gaz de la mort, utilisé pour l'extermination des juifs dans les chambres d'Auschwitz. Ces livraisons du gaz mortel étaient parfaitement légales car la loi allemande de l'époque autorisait la liquidation des juifs. Comme IG Farben, Roussel-Uclaf fabrique légalement un poison mortel. Curieusement, IG Farben n'a pas été démantelée après la seconde guerre mondiale; mais a été simplement divisée en trois groupes:

Le groupe BASF 

Le groupe Bayer 

Le groupe Hoechst 

Hors, Roussel-Uclaf est entièrement contrôlée (à 54% du capital) par le groupe Hoechst, issu de IG Farben!!.



vendredi 4 juillet 2025

C'est risqué...!

 

La plupart des gens sont désinformés par la propagande du lobby de l’avortement.

Ils croient que l’« IVG » est un acte sans danger pour la santé de la femme.

S’ils lisent « 50 questions et réponses contre l’avortement », ils sauront que c’est faux.

Une femme qui se soumet à un avortement peut développer, parmi d’autres, les pathologies suivantes :

  • Hémorragie : À une époque où le sang peut transmettre le virus du SIDA, l’hémorragie utérine peut mettre en péril la vie de la mère : des femmes qui avortent peuvent, en effet, nécessiter de transfusions de sang, suite à d’importantes hémorragies.
  • Infection : S’il reste des débris fœtaux dans l’utérus ou si les instruments ne sont pas stériles, la mère risque la stérilité à vie par infection des trompes utérines.
  • Lésions du cervix : Les instruments utilisés pour dilater le col utérin peuvent l’endommager, pouvant provoquer, par sa béance, des fausses couches et des naissances prématurées.
  • Utérus perforé : Une curette peut perforer la paroi utérine, en provoquant une inflammation (péritonite) ; cela peut aboutir à l’ablation de l’utérus tout entier, rendant la femme stérile pour toujours.
  • Intestins perforés : Si, au cours d’une aspiration ou d’un curetage, par fausse manœuvre, l’instrument employé perfore l’utérus puis le côlon, il s’ensuit une

opération chirurgicale (résection) pour enlever la portion endommagée de l’intestin.

Vous comprenez pourquoi il est si urgent et si important de rétablir la vérité ?


Adèle Cottereau