Comme
vous le savez, la PMA regroupe un ensemble de pratiques cliniques et
biologiques où la médecine intervient dans la procréation.
Les plus connues de ces techniques sont l’insémination artificielle qui consiste à placer du sperme dans l’utérus à l’aide d’une sonde…
… et la fécondation in vitro
(FIV) où, dans une éprouvette, des ovocytes sont mis en contact avec
des spermatozoïdes avant que l’ovule fécondé – devenu embryon - soit
transféré dans l’utérus de la mère.
Cependant, vous ignorez peut-être que les pertes sont épouvantables…
Jugez-vous-même :
En 2014, 288 950 embryons ont été conçus dans le cadre des FIV.
62 862 embryons ont été congelés et 77 841 transférés pour donner naissance à seulement 13 473 enfants.
Cette
pratique a donc causé la mort de plus de 275 000 enfants à naître, soit
davantage que le nombre de victimes annuelles de l’avortement !
Le sort des embryons congelés est sordide puisqu’ils sont utilisés comme cobayes dans des laboratoires …
Durant des décennies, la PMA était réservée aux couples stériles normalement constitués d’un homme et d’une femme.
Vous
le savez, depuis 2021, les « couples » de lesbiennes et les femmes
seules peuvent aussi réclamer une PMA en ayant recours au sperme d’un
donateur inconnu.
Autrement dit, avant même de naître, un enfant peut-être délibérément privé d’un père !
Comme je vous le disais, au fond c’est la même logique que pour l’avortement : l’intérêt du bébé est piétiné.