Pour une information équilibrée sur l’IVG et ses conséquences
Un enfant ne
mérite pas de mourir parce que sa mère et/ou son père n’assume pas leurs
responsabilités. Un enfant est complètement innocent.
Voici 10
bonnes raisons de ne pas se faire avorter:
1) L’avortement aggrave la tragédie
La réponse à
une tragédie ne peut pas être une autre tragédie. Parfois, les circonstances
entourant une grossesse sont tragiques. Peut-être la femme a-t-elle été violée.
Peut-être le bébé a-t-il été diagnostiqué avec un handicap. Ou la santé de la
femme pourrait être en danger. Toutefois, la réponse à une tragédie ne peut pas
être une autre tragédie. On n’efface pas un viol en tuant un enfant. On ne
guérit pas un bébé en le tuant. Et on n’évite pas les problèmes de santé en
refusant la réalité d’un autre être humain.
Les femmes
qui ont été violées doivent être entourées avec beaucoup de compassion. Mais
exécuter l’enfant d’une femme n’est pas de la compassion. Face à un diagnostic
prénatal difficile, les parents doivent obtenir des informations factuelles et
être orientés vers d’autres susceptibles de partager utilement leur expérience.
Ils ne doivent pas être contraints à un choix rapide d’avortement ou priés de
tuer leur enfant au lieu de lui donner une chance de défier les pronostics. Les
femmes ayant des grossesses à risque doivent être traitées par de vrais
professionnels de santé. Mais le traitement n’inclut pas de tuer
intentionnellement un enfant. (Si un enfant décède au cours du traitement de la
femme -lors de la chimiothérapie pour le cancer, de la suppression d’une
grossesse extra-utérine…. – ce n’est pas un avortement.)
2) L’avortement tue des innocents
La science
ne pourrait pas être plus claire. Les êtres humains in utero sont vivants,
distincts, et uniques. Dès le moment de la fécondation – plus connue sous le
nom de conception – une nouvelle vie humaine commence. Mettre fin à cette vie
ne finit pas une « potentialité. » cela termine une vie. Nous ferions
bien de comprendre la science moderne qui révèle l’humanité de l’enfant à
naître.
3) L’avortement viole les droits civils
Les droits
civils sont violés quand les gens sont privés de leurs droits fondamentaux de
manière discriminatoire. Les enfants à naître sont privés de la vie – le droit
le plus fondamental de tous – sur la simple base de leur position géographique
(l’utérus de leur mère) et de leur niveau de développement. C’est
discriminatoire, inhumain et cruel.
4) L’avortement punit des innocents
Un enfant ne
mérite pas de mourir pour les crimes de son père. Un enfant de cinq ans ne peut
pas être tué parce que son père est un violeur. On ne devrait pas pouvoir
tuer un enfant à naître de 5 mois pour la même raison.
Un enfant ne
mérite pas de mourir parce que sa mère et/ou son père n’assume pas leurs
responsabilités. Un enfant est complètement innocent. Un enfant n’a pas décidé
que ses parents feraient l’amour ou qu’ils utiliseraient une contraception
inefficace. Un enfant à naître est toujours innocent et ne devrait jamais être
puni.
5) L’avortement peut blesser les femmes
Des
histoires vécues démontrent encore et encore que l’avortement nuit aux femmes.
Ces blessures surviennent sous diverses formes – mentales, psychologiques,
relationnelles et physiques – et dans certains cas, l’avortement coûte leur vie
aux femmes. Elles peuvent également subir la perte de leur fertilité ou une
augmentation des fausses couches après un avortement.
6) L’avortement abime les relations et les familles
L’avortement
n’est jamais la réponse à une relation fructueuse et aimante. Chaque fois qu’un
membre de la famille meurt, le reste de la famille est touchée. Et cela est
vrai de l’avortement. Un enfant réel, vivant, irremplaçable a été tué, et les
parents et les frères et sœurs sont altérés. Beaucoup de femmes qui avortent
juste pour convaincre leurs mecs de rester avec elles constatent qu’ils les
quittent de toute façon, peu de temps après l’avortement. L’avortement n’est
jamais la réponse à une relation fructueuse et aimante.
7) Les conséquences de l’avortement ne s’effacent pas
Peu importe
combien nous essayons, nous ne pourrons jamais effacer ce que l’avortement
fait. L’avortement tue un être humain innocent. Le temps n’efface pas ce
meurtre ni ne soulage la réalité de ce qu’il est. L’avortement est une tragédie
cruelle, mais c’est aussi un choix qui ne devrait jamais être fait. Un tel
choix reste avec nous pour toujours.
Pour ceux
qui ont déjà pris part à un avortement, même s’il n’existe aucun moyen de
changer votre passé, il ya un moyen d’en guérir. Recherchez auprès de votre
centre local de ressources pour la grossesse les programmes de rétablissement
post-avortement.
8) L’avortement crée de nouveaux problèmes
On ne résout
pas ses problèmes en tuant une personne innocente. Certaines personnes croient
qu’avorter et supprimer la vie d’un enfant résoudra leurs problèmes. Et
dans l’immédiat, il peut sembler que les problèmes aient été effacés. Peut-être
les études deviennent-elles une option plus facile, peut-être les parents ne
découvrent-ils jamais que leur fille était enceinte, ou peut-être une liaison
reste dissimulée. Mais en réalité, l’avortement ne fait que cacher les
problèmes – il ne les résout pas. Beaucoup de femmes terminent le collège tout
en donnant naissance à leurs bébés. Beaucoup de parents sont beaucoup plus
compréhensifs et aimants que leurs filles ne le croyaient possible. Et la
vérité vaut toujours mieux qu’un mensonge, surtout quand un mensonge coûte la
vie à une personne innocente. En fin de compte, voici ce qu’il en est vraiment
: on ne résout pas ses problèmes en tuant une personne innocente. Ce n’est pas
parce que c’est légal que c’est juste. Et le fait que ce choix reste souvent
secret ne signifie pas qu’il ne restera pas avec vous pour toujours.
Les parents
subissent souvent beaucoup de pression sans qu’on leur dise le grand cadeau qui
leur est fait…
9) L’avortement occulte la responsabilité
L’avortement
est parfois utilisé comme le camouflage facile d’une aventure d’un soir, ou une
solution à une relation qui a mal tourné. Toutefois, lorsque deux adultes font
le choix de participer à une activité connue pour créer des bébés, ces adultes
doivent en accepter la responsabilité. La contraception peut échouer. La
meilleure planification peut s’écrouler. Mais la responsabilité ne doit pas
être évitée au prix de la vie d’un enfant innocent.
Les
personnes responsables doivent parfois faire des choix difficiles. Le timing
peut sembler mauvais, et les circonstances difficiles. Mais cela ne justifie
pas de tuer une personne innocente. Choisir d’élever un enfant est responsable.
Choisir l’adoption pour un enfant est responsable. Mais choisir l’avortement et
dénier la vie à un enfant qui existe déjà est irresponsable – et
irrémédiablement – mal.
10) L’avortement n’est pas un signe d’émancipation ou
de libération pour les femmes
Ce n’est pas
mon «droit» de tuer mon enfant. En tant que femme qui se considère comme une
féministe, je trouve consternant que l’avortement soit classé dans le cadre des
« droits des femmes. » Ce n’est pas mon «droit» de tuer mon enfant.
Je ne devrais pas être la seule personne qui a le pouvoir d’ordonner l’exécution
de mon enfant de la main d’un médecin avorteur. Laisser mon enfant souffrir
d’une mort durant laquelle sa colonne vertébrale est aspirée dans un tube, où
ses membres sont déchiquetés, où son cœur est arrêté par le poison, cela
n’émancipe pas, ne libère pas. Ces choix ne devraient pas être des choix du
tout. Ils sont des tragédies cruelles pour tous les intéressés, et ils ne
devraient pas être autorisés dans une nation civilisée. Les femmes ne reçoivent
pas la liberté par le sang de leurs enfants.
Toutes les
femmes devraient comprendre exactement ce qu’est l’avortement.
Source : Campagne
Québec Vie